Index du forum »»  L'avenir du métier de pharmacien adjoint »» quel avenir???

quel avenir???#8285

15Contributeur(s)
cindelcayotecarobMarinelapfcAntoine_pharmadamien-en-merpharmaceuticpotarde17syncmasterrutuFoNcortoGalienneWhoopscaiuscrocus
4 Modérateur(s)
ManagerWhoopsBixente64bultus
cindel cindelicon_post
bonjour à tous

Travailler chez Leclerc??J'en arrive à me dire pourquoi pas.. Lui au moins recherche nos diplomes et j'en suis sure nous soignera aux petits oignons pour que l'on reste!
il n'en est pas toujours de même pour le pharamcien titulaire.. ne generalisons pas il s'agit sans doute, je l'espere d'une mauvaise exoerience..
Mais que pensez d'un titulaire qui se separe progressivement de tous ses diplomes preparateurs comme pharmacien pour au final ne conserver que des vendeuses.. oui des vendeuses qui delivrent des médicaments sans control, prodiguent des conseils aux patients et ayant le titre honorifique de preparatrice sur leur fiche de salaire???

en 2 ans 3 licenciements.. 2 préparateurs et un pharmacien.. il ne reste au final qu'une assistante (derniere des mohicantes )une preparatrice et 2 vendeuses dont le salaire défraye la chronique..

Et oui car le choix du licenciement se fait non pas sur les competences de chacun, sur l'ancienneté, sur les salaires.. mais uniquement sur un notion de copinage.......Ah les soirées beuverie patron vendeuses.. ca crée de liens c'est certain :paf

comment avec de tels comportements notre profession peut -elle rester credible? Comment ne pas être ecoeurée de voir qu'aucun recours ne peut nous être accordé? que nous ne sommes rien...

EDOUARD L si tu me lis je t'offre mon diplome
cayote cayoteicon_post
Tu es paradoxale : tu sembles affligée de voir que dans la pharmacie dans laquelle tu bosses les diplômes soient mis à la poubelle, et tu cherches du réconfort là où justement l'objectif est de faire en sorte qu'il n'y ait plus besoin de diplôme???
Remets toi de tes émotions et cherche ailleurs....dans une PHARMACIE!!! :-kiss)
cindel cindelicon_post
Citation : cayote 

Tu es paradoxale : tu sembles affligée de voir que dans la pharmacie dans laquelle tu bosses les diplômes soient mis à la poubelle, et tu cherches du réconfort là où justement l'objectif est de faire en sorte qu'il n'y ait plus besoin de diplôme???
Remets toi de tes émotions et cherche ailleurs....dans une PHARMACIE!!! :-kiss)  

c'est du second degres.. ;-) Naturellement c'est dans une officine que je vais rechercher le salut.. ma comparaison avec El vien du fait que j'ai vécu en officine ce que l'on reproche à EL

oui je suis affligée décontenancée ecoeurée. mais je m'en remettrais enfin je pense :#

merci à toi
carob carobicon_post
allez courage, on a tous vécu de mauvaises expériences, personnellement en sept ans d'assistanat, je pense avoir tout vu, et la situation que tu décris je la vis en ce moment: trois licenciements en six mois , une vendeuse, une préparatrice et une pharmacienne assistante. le titulaire a complètement pété les plombs et je vais témoigner aux prud'hommes pour aider mes collègues en espérant bientot pouvoir me sauver de cette pharmacie...
c'est vrai qu'il faut sacrément aimer ce métier pour tenir le coup et ne pas loucher vers une autre voie.
Marinela Marinelaicon_post
Et les jeunes, il ont quel age tous ces thénardiers-titulaires ? parcequ'il me souvient qu'il y a trente ans c'étati deja comme cela mais en moins développé ! alors le syndrome "des Bourgeois de Brel " ?

Message édité par : Marinela / 25-09-2009 20:50

carob carobicon_post
le mien il a la cinquantaine, installé depuis plus de 25 ans dans la meme pharmacie, grosse famille de commerçants du département...
Marinela Marinelaicon_post
Citation : carob 

le mien il a la cinquantaine, installé depuis plus de 25 ans dans la meme pharmacie, grosse famille de commerçants du département... 

donc jamais salarié ?
pfc pfcicon_post
ON peut toujours faire comme si ce genre de discours était isolé mais malheureusement
il tend à se généraliser, les adjoints ne sont pas heureux de leur statut et des perspectives
qui leurs sont offertes dans les pharmacies surendettées ou des titulaires pris à la gorge par
leur emprunt ( la faute à qui ?) et par la baisse de la rentabilitée font ce qu'il peuvent pour s'en sortir
cad souvent n'importe quoi...les GMS peuvent apparaitre comme une solution pour les jeunes diplomés
qui de toute façon sont de moins en moins nombreux à s'inscrire en pharma..mais honnetement il faudrait etre completement
inconscient pour choisir cette voie (officine) en analysant de façon logique ce qu'est un adjoint en 2009, ou sans
se fixer pour but une installation rapide avec l'argent de papa-maman..evidemment...
Antoine_pharma Antoine_pharmaicon_post
la corde est toujours plus tendu en fin de semaine pfc ;)

Perso ma vie d'adjoint, je la souhaite à un maximun de monde, je gagne bien ma vie, j'ai des responsabilités, et j'ai un objectif de carriere possible pour son evolution, et cerise sur le gateau, j'ai d'excellent rapport humain avec la clientele...
Evidemment, si j'avais fait trader je serais riche à milion, mais si tu compart toujours le bon coté d'une profession au mauvais d'un autre, a priori t'auras tjrs envie de celle de l'autres...

Comme chantait didier super, "y en a des biens" , chez les titulaires comme partout, c'est le casting vache qui rit : trop gentil, trop sur le fric, trop mechant, trop absent, trop present....
A combien de vos criteres elitistes resisteriez (ou resisterez) vous dans quelques années...

Enfin ça restera l'eternel opposition entre nous pfc, mais des adjoints heureux j'en connais de bon paquet ( avec un minimun de plainte syndicale contre le titulaire, pour le principe ;) ), evidemment ils parlent peu.... :)

---------------------
" Il en faut peu pour être heureux
Vraiment très peu pour être heureux
Chassez de votre esprit tous vos soucis
Prenez la vie du bon côté
Riez, sautez, dansez, chantez
Et vous serez un ours très bien léché ! "
cindel cindelicon_post
pour repondre mon titulaire en question est toute jeune 30 ans.. mais completement manipulable..m'enfin tout ceci est (enfin) derriere moi!
j'ose effectivement esperer que tous les titulaires ne sont pas comme elle... et que nombre d'assistants et preparateurs s'epanouissent dans leur travail!

je vais pour ma part prendre le temps de rechercher la perle (finalement pt-être pas si rare que ça..) de titulaire chez qui je vais couler des jours heureux.. en attendant de tenter l'experience de l'installation...

tout ce que je sais aujourd'hui c'est: plus jamais ça! j'aime mon metier et je ne souhaite pas qu'il soit devalorisé i
damien-en-mer damien-en-mericon_post
De mon côté, depuis juin, 3 adjointes de mon entourage ont été licenciées pour raisons "économiques", la raison économique se limitant toujours au fait que leur diplôme n'était plus obligatoire au vu du chiffre d'affaire. Non parce que celui-ci avait diminué et ne permettait plus de payer les adjointes en question, mais simplement parce qu'il avait augmenté moins vite que la limite imposant la présence d'un adjoint. Le W-E dernier, lors d'une AG de l'ANEPF à Lille, un étudiant de 6ème année (qui a choisi la filière répartition pour échapper à l'avenir bouché de son premier choix, l'officine), suggérait, entre autre et dans un cri du coeur, que les pharmaciens qui embauchent des diététicien(ne)s leur préfèrent des confères, puisqu'ils sont également formés à la diététique. La réponse était sur les lèvres de tous les titulaires invités à cette conférence sur la première installation. Elle y est restée. No comment. Après la conférence, une jeune consoeur qui a fini ses études et passé sa thèse en juin, me parlait de ses difficultés à trouver un remplacement. Sa zone géographique ? La France entière ! Mais il y a aujourd'hui suffisamment de remplaçants expérimentés sur le marché pour qu'on ne donne plus aux jeunes la chance que j'ai eue il y a 8 ans : coeff 600 en CDI 4 mois après la fin de mes études, le tout sans thèse ! Son expérience faisait écho à ce que me disait l'un des organisateurs de l'AG (sixième année) : les anciens étudiants sortis de la fac ces dernières années nous font sans cesse part de leurs difficultés à trouver du travail en officine.

Plaisant tableau, n'est-ce pas ?

Evidemment, tous les employeurs ne licencient pas leurs salariés au fur et à mesure qu'ils en ont simplement le droit, mais quand un repreneur doit tailler dans les dépenses pour satisfaire les appétits d'un vendeur, il n'hésite parfois malheureusement pas bien longtemps à se séparer d'un confrère "inutile" (?). Comme le calcul a été fait dans un autre sujet, en 2009, il y a 5600 postes de pharmaciens obligatoires de moins qu'en 2004 (30% d'augmentation du CA par pharmacien contre 17% d'augmentation du CA des officines). Alors tous ces licenciements dont on parle sur Pharmechange ou que vous voyez autour de vous, dites-vous bien que ce n'est que le début, vu les augmentations de numerus clausus actuelles.

Alors que faire ? Attendre chacun de son côté, en tremblant pour que la malédiction ne s'abatte pas sur nous ou en se persuadant qu'on sort du lot et que les autres peuvent bien crever tout seuls ?

Petite remarque : un étudiant ayant des responsabilités à la corpo de Lille m'a parlé d'anciens élèves qui gagnaient dans les parapharmacies Leclerc 4 500€ par mois. Pour des postes à responsabilités. A la sortie de la fac. Combien de pharmaciens employeurs accordent-ils la même confiance (sans parler du salaire) à leurs "p'tits" frères ?
Pour des raisons éthiques, à titre personnel, je suis contre l'entrée de Leclerc et consors dans le capital des officines. Mais quand une profession ferme la porte à tous les rêves de sa jeunesse, il ne faut pas s'étonner qu'une partie aille rêver ailleurs. Et quand on lit les résultats catastrophiques de l'enquête de Que Choisir, on se dit finalement que des pharmaciens estampillés Leclerc n'auraient sans doute pas fait pire.
carob carobicon_post
pour répondre à marinela, non il n'a jamais été salarié.
ce que décrit damien est la triste réalité . y a-t-il des pharmaciens adjoints épanouis dans leur travail sur ce forum? j'aimerais bien avoir leur témoignage, histoire qu'antoine-pharma ne se sente pas trop seul dans le monde des bisounours.
Marinela Marinelaicon_post
D'abord c'est une erreur de croire qu'il suffit de redescendre sous le seuil de l'assistant pour avoir le "droit" de licencier. En effet les clauses du llcenciement économique licite sont bien différentes et sans relation. Donc de la même manière que l'on ne peut valablement licencier lors d'une reprise on ne peut licencier lorsque le seuil remonte.

Ceci étant dit, il est malheureusement inévitable que la situation de adjoints va empirer pour une raison fort simple : il sont de plus en plus nombreux d'une part et de plus en plus "chers" d'autre part. Attention ce n'est pas un jugement personnel, ne vous meprenez pas ! mais ramené à la marge réelle d'une pharmacie, le cout de l'adjoint charges comprises progresse bien trop vite.

Comme l'équilibre financier d'une pharmacie est adossé à plusieurs variables comptables, c'est celle de l'adjoint qui sert d'ajustement, tant que le prix des fonds et par conséquent la charge d'emprunt reste élevée. La chute du prix des fonds est inévitable mais il y a un effet "retard" qui joue contre l'emploi des adjoints.

Tous les expert-comptables expliquent à leurs clients qu'il faut ajuster le cout salarial à la marge brute pour peremettre le remboursement de leurs emprunts.

En période de croissance de CA ou de marge, pas de problème mais depuis cinq ans, on en est plus là .

Y'a t'il des solutions ? individuellement surement mais pour la collectivité entière, je ne crois pas. Je crains qu'on assiste dans cette profession a ce qui est arrivé aux instituteurs il y a trente ans ...
Marinela Marinelaicon_post
Citation : damien-en-mer 

Petite remarque : un étudiant ayant des responsabilités à la corpo de Lille m'a parlé d'anciens élèves qui gagnaient dans les parapharmacies Leclerc 4 500€ par mois. Pour des postes à responsabilités. A la sortie de la fac.  

c'est une légende urbaine !
http://www.supergelule.fr/2009/06/16/quand-leclerc-recrute-des-pharmaciens-pour-ses-parapharmacies
pharmaceutic pharmaceuticicon_post
Pour revenir au sujet de sindel, tu as raison va chez Edouard, tu verras c'est genial, ce mec est extraordianaire!!!
pharmaco
damien-en-mer damien-en-mericon_post
Merci Marinela pour ta définition du licenciement économique. Je m'attendais à ce que quelqu'un fasse cette remarque. Néanmoins, je n'ai pas pour habitude de mettre en ligne des approximations. Tous les licenciements que j'ai évoqués ont bel et bien été faits dans le cadre de licenciements économiques. Pour les raisons que tu évoques, ils étaient tous abusifs et si les adjoints licenciés saisissent les prud'hommes, tous toucheront autour de 6 mois de salaire. Puis ils devront se contenter des ASSEDIC s'ils ne retrouvent rien. De leur côté, ceux qui les auront licenciés paieront d'un coup 6 mois de salaire... puis plus rien... C'est ainsi.

Qu'il y ait des solutions individuelles aux difficultés de l'emploi, sans doute. Mais dire qu'il n'y a pas de solution collective... Encore faudrait-il les rechercher ! La population pharmaceutique n'est-elle pas régulée par un numerus clausus ? Les médecins, eux, savent se faire augmenter autrement qu'en piquant les patients du voisin (15 à 22€ en 5-6 ans, c'est pas beau, ça ?) ! Ils savent faire pleurer la ménagère qui ne gagne pas le quart de leur revenu. Les pharmaciens, eux passent leur temps à essayer de limiter la casse côté marges et rémunération. Dans une négociation, on n'obtient jamais tout ce qu'on demande. Alors si on commence par demander à ne pas trop perdre, c'est risible ! Si on veut vraiment limiter la casse, ce qu'il faut réclamer haut et fort, c'est une augmentation conséquente des marges ! Et il ne faut pas craindre les moyens de pression. Même les médecins savent faire grève ! Ca vous semble politiquement incorrect ? Evidemment, puisqu'on n'entend que le gouvernement sur la question du coût des médicaments et de leur distribution. A nous de faire évoluer ce discours, de montrer que les pharmaciens ne sont pas une profession de mollassons qui attendent sagement la prochaine diminution de leurs revenus ! C'est quand même à pleurer si c'est aujourd'hui aux adjoints de monter au créneau pour défendre les marges des officines !

Damien.
potarde17 potarde17icon_post
Pour apporter ma petite pierre à l'édifice : je suis une adjointe HEUREUSE !
Ex-titulaire....j'ai d'abord fait de l'assistanat puis été titulaire pendant 11 ans. Des nuits blanches à me demander comment j'allais arirver à payer l'URSSAf, les salaires, les traites du grossistes, les factures des autres fournisseurs, les impôts (démesurés par rapport au revenu "réel" càd les sous qu'on parvient à prendre ....pour cela il faudrait qu'il en reste quand tous les prélèvements cités sont passés : je me souviens d'une fois où mon ami le CL a annulé un virement compte pro vers compte perso car découvert trop important : super de ne même pas pouvoir se payer !)

D'où de nombreuses interrogations (je n'ai tjs pas la réponse aujourd'hui) : suis-je nulle ??

J'ai vendu, donc.
Finies les nuits blanches, les dimanches à faire sa compta, les questions sur "ce qu'il faut faire pour que cela s'améliore" et sur "ma nullité".

Depuis 10 ans environ, me voici adjointe. J'ai vu un peu de tout, pas trop de nuls ou de c..ns, ou bien je suis partie qd c'était le cas.
Etre adjointe n'est pas tjs facile, on a du mal à trouver sa place, entre le titulaire et les autres membres de l'équipe. Surtout qu'en tant qu'ex-titulaire, évidemment je comprends bien le titulaire et ses difficultés. C'est difficile de trouver les limites de ce qu'on peut - ou pas - faire.
Mais dans la vie quotidienne, c'est le bonheur !! OUi, oui, c'est vrai !
C'est pas rose tous les jours, les relations avec les collègues (ou avec le titulaire) sont parfois douloureuses, mais cela n'a rien à voir avec les soucis que j'ai connus en tant que titulaire. Les relations humaines c'est difficile, que l'on soit patron ou employé. Quand on est employé, on peut partir, quelle liberté ! malgré la crainte de ne pas trouver autre chose. Quand on est patron : on est coincé !
Je dois probablement vous donner l'impression de soutenir les patrons : je le conçois. C'est peut-être parce que j'ai eu la chance de ne jamais tomber sur les sales c..ns que je vous vois parfois décrire. C'est sans doute aussi parce que j'ai vécu les 2 expériences.

Bon, je sais c'était long :paf.
Allez, je m'arrête.
Bonne chance à tous, adjoints & titulaires :-kiss)
carob carobicon_post
ça fait plaisir de lire ça! tu m'as redonné le moral pour la journée. :-D
damien-en-mer damien-en-mericon_post
Merci Potarde pour ce témoignage

Il y a un poste de dépenses que tu n'as pas cité dans ton message : le remboursement du prêt. Si les impôts étaient démesurés par rapport à ce que tu t'attribuais comme salaire, c'est que le capital remboursé chaque mois devait être relativement important. Ce qui me renforce dans l'idée que le prix des officines est aberrant au vu de leur rentabilité. Enfin, cela semble de plus en plus communément admis.

Je ne pense pas que qui que ce soit pense que tu sois nulle ; juste, peut-être, que tu as acheté un peu cher ton officine (peut-être pas par rapport au prix du marché, mais en tout cas par rapport aux revenus qu'elle générait).
Enfin, tu ne peux pas comparer la situation d'une adjointe (toi), qui a librement choisi de le rester alors qu'elle aurait sans doute pu, grâce à la vente de son fonds, rester ou redevenir titulaire, avec celle de tous les jeunes confrères qui n'ont pas forcément les mêmes possibilités d'installation que tu as eues il y a plus de 11 ans (et comme tu le décris si bien, malgré la croissance de l'époque, ce n'était déjà pas facile). La différence s'appelle LIBERTE de choisir. Et un peu, aussi, gros capital mis de côté qui évite de se soucier du lendemain, non ? D'ailleurs, quand tu étais une adjointe qui n'avait pas été titulaire, tu as bien désiré le devenir, titulaire, non ? Essaie de te rappeler quelles étaient tes motivations et demande-toi s'il n'est pas légitime, après tout, que tes jeunes confrères carressent aujourd'hui les mêmes rêves et demandent à pouvoir les réaliser à leur tour...

En tous cas, profite bien de ton bonheur d'adjointe.

Damien.
pharmaceutic pharmaceuticicon_post
Il existe des affaires à des prix coherents avec des chiffres intéressants et pourtant il n'y a pas d'aquereurs....
pharmaco
Annonces de Pro
logo_atp2.png
Activité du site

Pages vues depuis 2003 : 628 165 833

  • Nb. de membres 15 616
  • Nb. d'articles 373
  • Nb. de forums 31
  • Nb. de sujets 9
  • Nb. de critiques 46

Top 10  Statistiques