Pas franchement analogue, mais pour prendre un exemple, tout les cyclistes ayant pratiqué le dopage se sentait bien, plus fort, en meilleur santé....
Des années aprés, les cancers se developpent, et le bénéfice risque s'en trouve forcement , pour eux, réevalué...
Le sevrage reste quand meme une situation trés particuliere, que seul un médicament ne saurait guerir pour moi, et une prescription hors AMM implique aussi souvent un suivi non adapté... Je serais peut etre amené à me peser la question si la prescription vient d'un grand centre specialisé dans le sevrage et de medecin specialisé, et que derriere le suivi est complet ...
Venant d'un generaliste, avec tout le respect que j'ai pour eu, je doute qu'il ai le temps et l'energie à consacré à ce type de client...
Si c'est pour basculer l'accoutumance de l'alcool au baclofene, si on est a priori gagnant au depart, l'est on au final...
Peut etre que si on ne propose pas de solution a priori miraculeuse et facile, le patient prendra d'autant plus conscience qu'avec toute la difficulté que ça impose, son investissement personnel sera encore la meilleur des thérapies. ( attention, je parle de maniere theorique, je comprend aussi que qqn vivant en pratique la situation espera toujours trouver la panacée...)
Aprés, je me suis pas plongé dans les resultats au long court des traitement sous aotal, revia, etc ...
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" Il en faut peu pour être heureux
Vraiment très peu pour être heureux
Chassez de votre esprit tous vos soucis
Prenez la vie du bon côté
Riez, sautez, dansez, chantez
Et vous serez un ours très bien léché ! "