A écouter de suite dans les grandes gueules ou en podcast plus tard.

commentaires assez durs, voir hostiles....comme quoi inutile d'espérer qq mansuétude et apitoiement sur notre pauvre sort, de la part de la nation....c'est peine perdu...le pharmacien ne fait pas pleurer dans les chaumières...mais est-ce étonnant..avec un revenu médian autour de 130 000e/an........

Raison de plus de ne pas se faire dicter la conduite à tenir lors des "Conseils" Pharmaceutiques , surtout quand c est le canard X qui la ecrit dans le numero du mois,

ou face au " je vais voir ailleurs"


A Bon Entendeur ;-) 8-)

Dans l'esprit des gens, la pharmacie se porte bien et ils sont étonnés quand on leur apprend que des pharmacies ferment.

En plus, tout doit être gratuit en pharmacie.

Une personne me demandait comment se calcule le prix d'une préparation et elle m'a interrogé "ah, vous comptez la main d'œuvre ?", à croire qu'elle travaille pour rien comme tout le monde :-D

dans la pharmacie le mal vient de l intérieur ... des prix de vente élévés, des discouters...de la concurrence déloyale(vente de produits listés sans ordo, des comptes compresses, des 5% MGEN cadeaux chez certains.....) :paf

ceci n'est qu'une conséquence du prix de vente des officines....avec de telles échéances à rembourser chaque mois tu ne peux pas blâmer les confrères qui cherchent par tous les moyens à capter la clientèle afin d'augmenter leur CA...c'est logique et normal....ne pas confondre la cause (prix sur-réalistes des fonds) et les conséquences (concurrence accrue, discount, mini-chaine selarl, selas....

t exagères pharmafc, il y a pour certains un problème du prix du fond, mais pour la plus part, c'est un problème de reglementation des prix d'état.

décidément tu dis tout et son contraire, ton seul dada s'articule sur la valeur des fonds et tout argument est tourné pour aller dans ce sens.
Non ces pratiques, ancestrales au demeurant et qui tendent a disparaitre, ne sont pas reliées à la valeur du prix des fonds.
Tu te perds en chemin, il n'y a rien de logique et rien de normal ........
Je te rappel que tu te présentes comme le chantre de la libre concurrence et de la libre installation saine et équitable mais avec une moralité pareille apport ou pas apport je donne pas cher de ta peau.

loulou, 10% de rentabilité net en moyenne ça reste plus que correct.......c'est le crédit que les pharmaciens doivent supporter pour financer l'acquisition du fond qui ramène à 2% le net en poche....la réglementation et la baisse des dépenses de santé qui sont souhaitable ne sont en rien responsable de nos erreurs et travers dans le financement de nos boutique, c'est notre problème, personne ne nous forçe à payer si cher les fonds.......de plus comme le dit si justement le ministre est il moral de vouloir socialiser les pertes alors que les gains et profits sont individuels? n'est ce pas cynique de demander de l'aide aux premières difficultés.....

Message édité par : PharmaFC / 21-02-2011 19:37

Taux de marque en 1983 : 33,44% ;

et maintenant ? 9 à 10 points de moins !
Ce n'est pas rien .
Plus tout le reste .
Ce qui fait tenir la pharmacie , et parfois bien tenir , c'est le volume .
C'est l'augmentation du CA qui permet de rembourser le crédit , et de vivre , même très bien vivre .
Sinon , cela ne passe pas ! Ça casse !

loulou77 : t exagères pharmafc, il y a pour certains un problème du prix du fond, mais pour la plus part, c'est un problème de reglementation des prix d'état. Les deux !

cookysprinter : dans la pharmacie le mal vient de l intérieur ... des prix de vente élévés, des discouters...de la concurrence déloyale(vente de produits listés sans ordo, des comptes compresses, des 5% MGEN cadeaux chez certains.....) :-|La c'est aussi une question de mentalité ! Tant pis pour eux , et ce n'est pas les plus malheureux qui font ce genre de chose , trés loin de la ! Trés loin ! C'est vraiment une question de mentalité ! :#

tu me prends pour une truffe ou quoi, ou alors tu veux te taper un potard, mefies toi je suis un dur à cuire, sociable mais rancunier.
non tu ne peux exposer ton discours que si tu baignes dans le système.
ce sont les mesures gouvernementales successives qui aboutissent à ce qui se passe aujourd hui, 5 années successives de mesures ( 2006 à 2010), aucune profession peut supporter ça.
après je ne comprends pas pourquoi t es toujours sur la même ligne pharmafc, mais là où j ai plus d experience que toi, c'est que le système a un cycle, en ce moment c'est pourri, mais ça peut pas rester comme ça, tu auras ta chance comme nous avons eu la notre, après tu ne peux pas avoir une grosse evolution statut sans très gros effort, c'est pas possible.

Message édité par : loulou77 / 21-02-2011 19:31

nos avis divergent loulou, excuse moi si je t'ai un peu secoué ou véxé, ce n'était pas volontaire....mais accepte une voix différente de la tienne..chacun à le droit d'exprimer son opinion.....je respecte ta position mais ce n'est pas la mienne....on peut quand même en discuter ....

ok

Oula du calme messieurs !

Ce qui compte c'est notre marge en euros , pas uniquement un % , et c'est la ou cela de plus en plus mal !

Nous subissons des mesures drastiques qui aboutissent à des baisses de notre marge en valeur , marge qui nous fait vivre , , de meme les LABM avec les baisses du B .
Rien de tel pour les médecins ! :#

l'incident est clos ...avec loulou on se respecte et on s'apprécie.....mais on n'est pas d'accord.....ça c'est sur....sauf sur les cycles qui se répètent.. la je le suis.....

D'un autre côté, il n'y a pas grand monde à aller dans les pharmacies qui ferment. Sinon, elles ne fermeraient pas.
L'immense majorité des gens va dans des pharmacies qui ne ferment pas et quand ces pharmacies-là sont dans le rouge, ce n'est généralement pas parce qu'elles ne sont pas viables, mais parce qu'elles ont été achetées trop cher. La meilleure preuve en est que l'immense majorité des officines en difficulté sont rachetées.

Donc tout va bien et de quoi se plaint on alors ?

Il faudrait savoir combien il y a exactement de pharmacies qui font faillite et qui ferment sans qu'aucun repreneur ne se manifeste...Je me demande s'il n'y a pas une confusion entre pharmacies en faillite (donc problème financier bien évidemment pour le titulaire) et pharmacies qui ferment (donc éventuellement problème de santé publique, surtout en milieu rural). Une étude documentée et objective serait la bienvenue pour faire avancer le débat.

Pourquoi ? .... Comprendre le Pourquoi ???....

Pourquoi toute cette agitation sur la "faillite" des pharmacies :


"Enfin, certaines réflexions pour ne pas regarder le verre qu'à moitié vide :

* Le monopole du capital officinal est-il justifié économiquement au regard des compétences entrepreneuriales au sortir des études pharmaceutiques ?

* Une pharmacie d'officine doit-elle se diversifier au sein (la santé et le bien-être) ou en dehors (le bien-être et le plaisir) de son coeur de métier ? "


http://www.jaibobola.fr/2011/02/jaibobola-pharmacie-officine-disparu.html




+

"En outre, l’arrivée des médicaments génériques a fait baisser les marges, tandis que les officines subissent de plein fouet la concurrence exacerbée des parapharmacies et probablement celle, future, des grands distributeurs, comme Leclerc "

http://www.sudouest.fr/2011/02/21/un-quart-des-pharmacies-seraient-proches-en-faillite-323491-4696.php


Si je ne m abuse MEL est deja un big Para Man ... Ne voulait on pas parler de l OTC sans la nommer :# :# :#




Chers amis Potards : Wake up Please



A Bon Entendeur ;-) 8-)

Pour rechercher les causes des difficultés, il faudrait d'abord et surtout établir précisement la situation actuelle sur l'ensemble des indicateurs économiques de l'officine (nombre de cessations de paiement, nombre de liquidations, fermetures définitives, nombre de licenciements économiques, revenus moyens des titulaires, mais aussi évolution des prix des fonds et montant des plus values à la revente...). Les indications et approximations données par les journalistes, qui connaissent mal la pharmacie, sont à prendre avec précaution. Il est souhaitable que l'IGAS fasse bien son boulot, en toute indépendance et en résistant aux pressions des lobbys, pour poser un diagnostic précis sur l'économie de l'officine, permettant ensuite des mesures efficaces et justes pour les pharmaciens.