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Une webpharmacie que pour les grosses officines ?#12461

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Un article un peu hors sujet .. quoi que…

L'industrie pharmaceutique fait sa révolution... numérique


La montée en puissance du numérique n'épargne pas le domaine de la santé. Les solutions thérapeutiques dans lesquelles les technologies numériques sont appelées à jouer un rôle croissant et déterminant ont pour intérêt de faciliter la vie des patients, tant en termes de confort que de sécurité. L'enjeu pour les laboratoires pharmaceutiques est non seulement de comprendre les changements que le déferlement des innovations numériques va inévitablement induire dans leur « business model », mais aussi de piloter et d'accompagner ce processus de transformation. Une tribune d'Yves Jarlaud, Associé Conseil et Responsable du secteur Santé et des Sciences de la Vie chez Deloitte.

Le site Symplur.com a récemment mis en ligne un graphique dynamique, qui illustre de manière saisissante l'accroissement spectaculaire du nombre des communautés de patients et des conversations liées à la santé sur Twitter au cours des deux dernières années. Dans le même temps, conférences et publications relatives à la montée en puissance du numérique dans le domaine de la santé se multiplient. Toutes soulignent les transformations profondes que ce phénomène va engendrer pour l'ensemble des acteurs, à commencer par ceux concernés par la télémédecine.

Pourtant, si l'on songe à l'ensemble des applications potentielles du numérique dans la santé, cette révolution n'en est encore qu'à ses prémices. C'est particulièrement vrai pour l'industrie pharmaceutique qui n'a jusqu'à présent que peu tiré profit de ce gisement d'innovation et de productivité. Même si quelques pionniers affichent une réelle volonté de faire du numérique un levier de transformation touchant à la fois leurs produits, leurs processus internes et leurs interactions avec les tiers, beaucoup d'entreprises du médicament observent encore avec circonspection et inquiétude un phénomène dont ils ont le sentiment qu'il est en dehors de leur contrôle.

Le modèle traditionnel des entreprises pharmaceutiques centré sur les « blockbusters » a vécu

La plupart des observateurs le soulignent : le modèle traditionnel des entreprises pharmaceutiques centré sur les « blockbusters » a vécu, même s'il reste pour un moment encore un contributeur important à leurs résultats. Désormais, l'enjeu en termes d'innovation est non seulement de développer des nouvelles molécules plus efficaces et plus ciblées, y compris pour le traitement de maladies rares, mais aussi de proposer aux patients et aux professionnels de santé des solutions thérapeutiques complètes, en particulier pour les ALD - diabète, cancers, maladies cardio-vasculaires... L'exemple de l'iBGStar que Sanofi a développé conjointement avec des partenaires est illustratif de cette (r)évolution. Ce lecteur de glycémie connectable à un iPhone permet aux patients diabétiques de mesurer facilement et précisément leur taux de glucose sanguin et, grâce à une application spécifique, leur offre également de multiples fonctionnalités, pour tenir à jour leur carnet de suivi glycémique, pour transmettre les résultats à leur médecin et ainsi mieux gérer leur diabète.

Les solutions thérapeutiques dans lesquelles les technologies numériques sont appelées à jouer un rôle croissant et déterminant ont notamment pour intérêt de faciliter la vie des patients, tant en termes de confort que de sécurité. Elles contribuent à améliorer le niveau d'observance des traitements, et par conséquent leur efficacité, au bénéfice principal des patients mais aussi des payeurs - pour mémoire, les coûts liés à la non observance sont estimés à plus de 125 milliards d'€ par an en Europe.

Un capteur miniaturisé, inséré dans une gélule

Dans la mesure où les laboratoires pharmaceutiques seront de plus en plus incités par les payeurs à s'engager dans des accords du type « pay for performance » sur la base des résultats en « vie réelle », comme ceux promus par le NHS en Grande Bretagne, ils auront tout intérêt à proposer des solutions thérapeutiques favorisant l'observance. C'est dans cette optique que certains envisagent de développer des « smart pills » en utilisant des technologies comme l' « Ingestible Event Marker », conçu par la société Proteus Digital Health et approuvé par la FDA en juillet 2012.

Ce capteur miniaturisé, qui peut être inséré dans une gélule, émet un signal transmis à un récepteur externe lorsqu'il est activé par les sucs gastriques. L'intérêt de ce type de dispositif est de permettre un suivi et un contrôle en temps réel de la prise de médicaments, et donc d'envoyer un message d'alerte en cas de non-respect de la prescription (délai ou dosage). Comme l'a fait observer A. Rosenberg, responsable du Business Development de Novartis Pharma, la valeur de ces « smart pills » sera plus dans les données qu'elles génèrent que dans le médicament lui-même.

Mais les apports potentiels du numérique à l'industrie pharmaceutique vont bien au-delà de la conception de solutions thérapeutiques intégrées. Ils peuvent concerner l'ensemble de sa chaîne de valeur. Ainsi peut-on s'attendre par exemple à ce que la recherche « translationnelle » et les études cliniques bénéficient de plus en plus des progrès des outils d'analyse de ce qu'il est convenu d'appeler le « big data ».

L'effort d'adaptation est considérable pour les labos pharmaceutiques

L'enjeu pour les laboratoires pharmaceutiques est non seulement de comprendre les changements que le déferlement des innovations numériques va inévitablement induire dans leur « business model », mais aussi de piloter et d'accompagner ce processus de transformation. Même lorsque ces mutations résultent de décisions internes à l'entreprise, les défis à relever sont importants car elles conduisent à répondre à de multiples questions auxquelles les laboratoires n'avaient jusqu'à présent pas été confrontés : quels sont les déterminants de la valeur d'une solution thérapeutique ? comment évaluer et partager les risques émergents avec les partenaires ? comment gérer le cycle de vie d'une solution multi-composants ? comment collecter et interpréter les données en « vie réelle » ? etc.

A fortiori, l'effort d'adaptation est encore plus considérable quand l'innovation numérique est promue ou imposée par des forces exogènes. Une étude récente conduite par Deloitte a par exemple mis en évidence que seules 4 entreprises pharmaceutiques sur 10 ont commencé à tirer parti des réseaux sociaux comme Inspire ou Patientslikeme pour collecter de l'information et pour communiquer, ou encore Sermo ou Medscape pour collaborer avec des professionnels de santé. Une proportion équivalente n'envisage toujours pas d'utiliser ces média et beaucoup d'entreprises pharmaceutiques se sentent encore démunies face à la prolifération des messages et informations concernant leurs spécialités qui sont diffusées chaque jour sur le web. Il est vrai qu'en offrant la possibilité à n'importe quel patient de partager publiquement son avis sur des médicaments ou des dispositifs à prescription obligatoire, le numérique introduit une forme de désintermédiation qui bouleverse radicalement les règles établies. Les laboratoires se retrouvent ainsi dans une situation paradoxale où ils sont tenus de respecter des obligations strictes en matière d'information médicale, tout en étant de plus en plus soumis à des exigences fortes en termes de transparence et de réactivité en cas de survenance d'effets indésirables.

Comment gérer les cycles de vie courts de solutions thérapeutiques incorporant du numérique ?

On le voit, le numérique est à la fois un déclencheur et un facilitateur de la puissante vague qui va conduire les entreprises du médicament à redéfinir leurs missions et leurs interactions avec les autres parties prenantes : patients, professionnels de santé, payeurs, régulateurs, partenaires. Mais le principal défi vient peut-être du fait que l'irruption des technologies et solutions numériques dans l'écosystème de santé en modifie radicalement la temporalité de référence. Les laboratoires pharmaceutiques vont par exemple devoir apprendre très vite à gérer les cycles de vie courts de solutions thérapeutiques incorporant du numérique. Ils devront également mettre en place des processus de décision et de communication permettant de réagir presqu'instantanément à des informations mettant en cause leur réputation diffusées et amplifiées via les réseaux sociaux. Comme l'a souligné récemment le dirigeant d'un grand groupe pharmaceutique, ceux qui sauront comprendre rapidement le changement de paradigme induit par le numérique, et modifier à temps leur ADN, auront certainement de meilleures chances de survivre et de prospérer.

© 2013 La Tribune.


Les auteurs de cet article parlent d’information aux patients et entre les ligne d’observance… mais pas un mot sur le rôle du pharmacien … c’est symptomatique et pour avoir été impliqué dans l’essai de mise au point de solution type proteus, il m’a été très difficile de faire admettre l’importance de la place du pharmacien.

Pour revenir au sujet du fil : Internet : cela va bien au-delà de la vente de produit de conseil sur un site web, comment utiliser au mieux les réseaux sociaux – doit être la vraie question. Voilà une solution de fidélisation bien souvent oubliée et qui doit être, à mon avis, l’élément central d’un site internet. Un site basé uniquement sur la vente est voué à sa perte car il s’engage dans un guerre perdue d’avance, la guerre des prix !

Bref comment fidéliser sa clientèle via un site web, voilà la vrai question d’internet …. Et c’est un vrai travail à plein temps d’où l’avantage de se grouper (et les pistes sont multiples : liens entre pros de santé via des soirées à thème, spécialisation dans un domaine ex. Transplantation, formation des équipes … ! Mais quand on sait que le panier moyen OTC d’un français est en gros 50% inférieur à celui d’un belge par exemple, ou que certaines pathologies (ex. Diabète ou transplantation) impliquent des patients poly-médicamentés le jeu en vaut la chandelle ! Spécialisation et solution de fidélisation sont deux pistes à explorer pour un site, bref se différentier par autre chose que le prix !!!

Pour moi le gagnant de la vente discount sur internet sera un spécialiste basé dans un pays de l’EU fiscalement intéressant et surtout prêt à perdre de l’argent pendant des années pour ensuite être l’unique acteur comme … Amazon !
XoXo
jyt jyticon_post
La bataille des pharmacies sur Internet

Le 24/01/2013

- Le pharmacien qui a ouvert le premier site de vente de médicaments en ligne a déposé un recours pour lever les barrières imposées par le droit français.

http://forum.avenir-pharmacie.fr/t884-la-bataille-des-pharmacies-sur-internet#4830

pharmaceutic pharmaceuticicon_post
Encore un gros çon qui scie la branche...
pharmaco
loulou77 loulou77icon_post
j'ai regardé la pharma en ligne de caen : des prix supérieurs à chez moi, d autres inferieurs, par contre j aimerais savoir les frais de livraison ?
ex produits moustiques : agressif sur leader, mais en marché sur spray recommandé pasteur.
je pense que les clients via les frais de livraison se font rouler dans la farine sauf sur consommer, mais après faut se mefier des habitudes des clients, type reflex caddy grande surface, après on se plaint qu en France les gens n'ont pas suffisamment d argent, ils dépensent à tout va type paiement en ligne applications pour portable ou autre, forfaits en voit tu en voilà, canal+, canal sat, c'est tentant, c'est comme les promos type affaires sur pixmania, fnac, Auchan ou autres, gros danger pour les finances !!!!


Message édité par : loulou77 / 26-01-2013 11:27



Message édité par : loulou77 / 26-01-2013 11:27



Message édité par : loulou77 / 26-01-2013 11:28

jyt jyticon_post
Citation : syncmaster 

Citation : nichlo 

Tu penses qu'ils n'ont pas le même diplôme que toi? Ha oui c'est sur ils ne sont pas inscrits dans la grande section A! Je n'ai d'ailleurs jamais compris le besoin de faire des sections différentes à l'ordre! Ils n'ont pas acheté une licence? Les pharmaciens en PUI délivrent bien des médicaments sans posséder la fameuse licence....
 


On s'en fout de la section A et de la licence, je te parle santé publique et toi tu me parles administratif!
Ils ont le même diplôme certes, mais ces "pharmaciens" seront-ils soumis à une obligation de formation continue? Auront-ils accès au DP?

Citation : ERNAM

J'ai toujours pas saisi la portée de le vente par internet, y'a t il un intérêt réel pour la santé publique, et un intérêt pour la profession? désolé si ça semble idiot pour certains!


Pour la santé publique: non. Pour la profession? Non plus. Manifestement le seul qui y voit un intérêt est bien MEL, ça lui donne un argument pour ressortir son couplet mensonger habituel.

Message édité par : syncmaster / 20-01-2013 15:20

 


Je vais faire mon que choisir mais les DP crées sans l'aval du patient et les DPC suivi...hum hum.
potard92 potard92icon_post
Pourquoi donc notre profession ne pourrait ou ne devrait évoluer?
Avez vous vu les chirurgiens opérer a distance via internet et un bras robotisé?
Notre compétence, si elle existe, reste, en ligne ou au comptoir de la même manière et avec ou sans licence...
Une consultation immediate par chat vaut mieux qu'un semi conseil a la va-vite au comptoir, non?
pharma-espoir pharma-espoiricon_post
Citation : potard92 

Pourquoi donc notre profession ne pourrait ou ne devrait évoluer?
Avez vous vu les chirurgiens opérer a distance via internet et un bras robotisé?
Notre compétence, si elle existe, reste, en ligne ou au comptoir de la même manière et avec ou sans licence...
Une consultation immediate par chat vaut mieux qu'un semi conseil a la va-vite au comptoir, non?
 


Je suis parfaitement d'accord, mais à une condition non négociable, c'est que le réseau soit activement contrôlé et que les fraudeurs soient sanctionnés.

http://www.sudouest.fr/2013/02/14/le-site-internet-pirate-965911-2780.php

Des cas de ce genre, on en aura beaucoup donc il faut mettre en place une surveillance efficace. Les syndicats et l'ordre sont sur le pont j'espère ?
potard92 potard92icon_post
A lire dans challenges d'aujourd'hui,
Leclerc prepare ses drives et ses para pour la vente en ligne...
Un confrere a créé 1001pharmacies pour faire du web en prenant 10% de com sur les "adherents"(cui-cui-cui)!
Rdv le 1er avril 2013 pour l'autorisation officielle donc.
potard92 potard92icon_post
Qui aurait penser acheter sur internet comme on le fait aujourd'hui, juste il y a 10 ans?
Le paiement securisé, une enseigne de confiance et les prix, en plus de la rapidité d'un drive...on sera nous même client de MEL demain. :-?
pharma-espoir pharma-espoiricon_post
MEL n'est pas prêt d'avoir les médocs, aucun politique n'est prêt à casser la santé publique à ce point pour le moment...
potard92 potard92icon_post
Qui passe du temps pour un doliprane? Tout le monde le sait, hélas.
Quand la boutique est pleine a 18h, on donne la poso et on encaisse.
Voire meme sans la poso chez certain
pharma-espoir pharma-espoiricon_post
Citation : potard92 

Qui passe du temps pour un doliprane? Tout le monde le sait, hélas.
Quand la boutique est pleine a 18h, on donne la poso et on encaisse.
Voire meme sans la poso chez certain 


Bah non, certains ont une éthique et ne crachent pas sur leurs études, leur diplôme, et la santé de leurs patients !

94% des français nous font confiance, seuls les pompiers font mieux. La moindre des choses c'est d'être à la hauteur de leur confiance.
yebbjr yebbjricon_post
Citation : potard92 


Un confrere a créé 1001pharmacies pour faire du web en prenant 10% de com sur les "adherents"(cui-cui-cui)!
Rdv le 1er avril 2013 pour l'autorisation officielle donc. 


Ce confrère est un très bon pot de ma promo, il n'y a pas que les 10%, mais également un abonnement mensuel pour l'officine. Du coup entre les 10%, l'abo et les frais d'envoi + un pharmacien qui s'occupe de cette délivrance, je pense aussi que ça ne peut être rentable pour une officine uniquement à condition d'un TRES gros volume.

En tout cas d'après ma titulaire, et l'OCP, internet ouvre grand la porte à MEL, et ce n'est que l'affaire d'une paire d'année pour qu'il vende l'OTC " à prix LE...RC".

En parlant de ça je ne supporte pas la nouvelle pub qui passe à la TV et qui est TROMPEUSE pour le grand public :

1) Le client lambda achetant majoritairement de l'aspirine U..SA, il n'y à pas de prix le...rc car vignetté ...

2) La pub donne le sentiment que le pharmacien VEUT vendre l'OTC chez le...rc, ce qui n'est pas le cas pour la majorité d'entre nous.

3) Quand on apprend aux formations sur les entretiens pharmaceutiques pour les AVK que seulement 45% des patients sous AVK ont l'INR dans leur cible, répandre l'idée que l'OTC n'est pas dangereux, et ne nécessite pas un vrai conseil, sans objectif poussé de vente, de prime ou de pression, est une belle connerie. mais bon ça vous le savez déjà.

Les gens je vous le dis, dans 10 ans les chaînes et drugstore sont pour nous ! :-?
yebbjr yebbjricon_post
Citation : potard92 


Un confrere a créé 1001pharmacies pour faire du web en prenant 10% de com sur les "adherents"(cui-cui-cui)!
Rdv le 1er avril 2013 pour l'autorisation officielle donc. 


Ce confrère est un très bon pot de ma promo, il n'y a pas que les 10%, mais également un abonnement mensuel pour l'officine. Du coup entre les 10%, l'abo et les frais d'envoi + un pharmacien qui s'occupe de cette délivrance, je pense aussi que ça ne peut être rentable pour une officine uniquement à condition d'un TRES gros volume.

En tout cas d'après ma titulaire, et l'OCP, internet ouvre grand la porte à MEL, et ce n'est que l'affaire d'une paire d'année pour qu'il vende l'OTC " à prix LE...RC".

En parlant de ça je ne supporte pas la nouvelle pub qui passe à la TV et qui est TROMPEUSE pour le grand public :

1) Le client lambda achetant majoritairement de l'aspirine U..SA, il n'y à pas de prix le...rc car vignetté ...

2) La pub donne le sentiment que le pharmacien VEUT vendre l'OTC chez le...rc, ce qui n'est pas le cas pour la majorité d'entre nous.

3) Quand on apprend aux formations sur les entretiens pharmaceutiques pour les AVK que seulement 45% des patients sous AVK ont l'INR dans leur cible, répandre l'idée que l'OTC n'est pas dangereux, et ne nécessite pas un vrai conseil, sans objectif poussé de vente, de prime ou de pression, est une belle connerie. mais bon ça vous le savez déjà.

Je vous le dis, dans 10 ans les chaînes et drugstore sont pour nous ! :-?

Message édité par : yebbjr / 16-02-2013 22:48

yebbjr yebbjricon_post
Citation : pharma-espoir 

Citation : potard92 

Qui passe du temps pour un doliprane? Tout le monde le sait, hélas.
Quand la boutique est pleine a 18h, on donne la poso et on encaisse.
Voire meme sans la poso chez certain 



94% des français nous font confiance, seuls les pompiers font mieux. La moindre des choses c'est d'être à la hauteur de leur confiance. 


Il nous font confiance quand ça les arrange. ex des génériques : la confiance a subitement augmenté depuis que ça touche leur porte monnaie ...
pharma-espoir pharma-espoiricon_post
Les médocs chez Leclerc, je n'y crois pas en l'état actuel des choses. Gauche comme Droite y sont opposés.
Compte supprimé Compte suppriméicon_post
Citation : pharma-espoir 

Les médocs chez Leclerc, je n'y crois pas en l'état actuel des choses. Gauche comme Droite y sont opposés. 

Cela n'engage que toi tant que tu as l'espoir d'être gouverné par des gens intelligents.

Décolé de te décevoir mais gauche comme droite, ils n'en ont rien à battre. Ce qu'ils veulent, c'est du pognon.

Mehaignerie a porté aux nues une PME de conditionnement unitaire pour maisons médicalisées qui a acheté 50 machines à PDA et qui envoie des semainiers dans toute la France. Il a dit que c'était l'avenir pour la sécu car permettant 30% d'économie sur le médicament (achat et délivrance). Elle se situe dans l'Est de la France. Et qui est député et actionnaire de la holding qui est derrière à ton avis ? Cherche pas longtemps, c'est facile à deviner et tu peux vérifier......
pharma-espoir pharma-espoiricon_post
En quoi le fait de donner les médocs non remboursés va permettre de gagner du pognon ??

Non seulement la sécu n'y gagne rien, car c'est des médocs qu'elle ne rembourse pas, mais en plus elle y perdra à cause de l'inflation des hospitalisation pour iatrogènies (cf le système américain, avec une médecine de ville ollé ollé qui provoque une explosion des couts à l'hosto... sauf qu'aux USA y'a pas de sécu....).

Ça fait déjà quelques années que la sécu a compris qu'une meilleure efficience passe par une meilleure médecine de ville, pour éviter des hospitalisations couteuses (d'ou les entretiens pour les AVK par ex).

Même Jean-Luc Mélanchon y est opposé.... et c'est pas pour nos beaux yeux.
potard92 potard92icon_post
Je suis d..accord avec ton point de vue sante publique, mais ici il faut avoir une vision de marché européen maintenant. Il y a des règles a respecter en groupe même si notre intereet particulier de pcien diffère un peu... ;-)
rutuFoN rutuFoNicon_post
En tout cas qu est ce que c est bon de voir Mme Adenot pleurer son impuissance a la télé ......
Le bateau viens d être méchamment torpille par la grâce de dieu :-D
"alleluia"
rutuFoN Is dead l officine a eu sa peau
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