Je crois que, parfois, de bêtes histoires de crédits en cours, d'études des gamins à payer, de taux de chômage élevé, empêche le salarié de quitter son emploi foireux dans une ambiance de merde et sous-payé par un taulier psychopathe qui passe plus de temps à aboyer sur ses larbins qu'à se préoccuper de sa santé mentale.
Mais peut-être vais-je me faire traiter de tous les noms pour donner une image caricaturale de la situation idyllique de la vie en officine... Mais à écouter certains tauliers, la vie chez eux est un monde merveilleux où tout le monde arrive le sourire aux lèvres et repart, triste et le regard humide, pour rejoindre son foyer en espérant ne pas être de repos le lendemain pour pouvoir à nouveau jouir de la béatitude que procure la présence irradiante de son employeur chéri.
Bref ; caricature contre caricature...0
Là où commence le découragement, se lève la victoire des persévérants.