une collègue a été licenciée comme toi, elle avait délivré une grosse quantité de cort..cyl car après avoir passé beaucoup de temps avec la personne pour lui faire un schéma de ses prises, (deux mois de traitement, avec augmentation progressive et puis diminution) avait commandé beaucoup de boites, une quarantaine. nous nous sommes aperçus de l’erreur avant la délivrance et la facturation. Mon titulaire a fait comme le tien. Elle a pris un avocat, et est allée aux prud'hommes, elle a gagné après deux ans. Il l'a menacée de faire terre brulée autour d'elle, il a convaincu "le malade" à témoigner contre elle alors qu' il avait reçu deux boites de médoc et le bon schéma de traitement.
Ma collègue a gagné en montrant que, entre autre chose, sa femme à lui n'ayant que la qualification de "femme de titulaire" délivrait depuis 30 ans.
cherche un bon avocat et trouve des irrégularités, et tu vas gagner.
Pour les erreurs trouve une façon de te vérifier.
Dans les officines où l'on vérifie les ordonnances il y a pas mal d'erreurs de délivrance mais les patients sont prévenus dans les heures qui suivent et rien de grave ne se passe, à part l’orgueil blessé. 9a mène à une meilleure concentration, et à des procédures pour éviter certaines erreurs.
Là où il n'y a pas de vérification les seules erreurs qu'on décèle ce sont celles dont les patients mêmes s' aperçoivent et c'est pire car le patient ne se sent pas du tout en sécurité, et par contre ceux qui délivrent croient vraiment que regarder l'ordonnance plusieurs fois les préserve de l’erreur, ce qui est ridicule en plus de n'être ni rigoureux ni sérieux. :