Pour répondre à la question, je pense que vous êtes d'accord sur le rôle de validation des ordonnances. Oui mais voilà, comment vous vous en sortez lorsque vous détectez une anomalie?
J'ai parfois quand même du mal à faire passer un message aux médecins pour divers raisons...
Voici quelques cas:
1. Une psychiâtre à l'hôpital qui prescrit (entre autre) Seroplex 30mg / J. Je me casse la tête à trouver son numéro et quand j'arrive à la joindre: "Oui, mais j'ai pleins de patient à ce dosage."
2. Un médecin généraliste qui prescrit "Amarel 4 mg + Amarel 3 mg / J".
Je n'ose même pas appelé le MG, spécialiste de prescriptions douteuses parfois.
De toutes façons, c'est bien connu, quand on augmente les posologies, on a de meilleurs résultats. Je me demande à quoi servent les recommandations?
3. Expérience d'aujourd'hui: Ordonnance avec entre autre, Moclamine + Ixprim. Tout simplement un contre-indication. Oui mais voilà: la pharmacie le délivre depuis plus de 12 mois, et c'est un samedi après-midi où le MG n'est pas là.
Je ne peux pas dire: "Mme. Il y a un problème sur l'ordonnance" vu que le médecin a toujours raison et qu'il fait toujours la même chose. J'ai laissé un message pour lundi mais je délivre les médicaments sans rien dire.
Et vous, comment auriez-vous réagi à ces 3 cas?
Et en supposant que les médecins auraient maintenu leur prescription, que faire???
(Rappel: Je ne suis "qu'étudiant en 5A", donc doit faire encore plus attention...)
Message édité par : ami89 / 11-02-2012 21:50