Quand je dis qu'il n'y a que le pognon qui compte.
Et c'est pas d'aujourd'hui !
Et en y regardant bien, nous sommes souvent complices par ignorance, "obligation", en faisant trop confiance souvent.
Peut-on exprimer librement ses convictions au comptoir quand à l'utilité d'un traitement ?
Peut-on dire aux patients que le médecin leur a changé leur médoc parce que le délégué médical est dans le secteur, et non pas parce que sa tension est montée comme lui a dit son brave docteur ?
Si on se tait, on est complice.
Si on parle, on se condamne.
Tout ça parce qu'on a besoin de son job .
Et comme c'est dans tous les secteurs, que faire ?
à bientôt en grande surface...