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Le Marché Immo US est fou et le monde trinque...#4835

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zamaievManagerantidryconceptionBixente64ElGringo
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Voici un article prémonitoire daté du 24/04/07 sur boursorama :

http://www.boursorama.com/forum/message.phtml?file=359569798&pageForum=1

De denissto (don quichotte)
UNE PEPITE IMMOBILIERE 09:38 24/04/07
puisque le silence est roi , je vous renvoi une perle des bouricains, des genies du pret immobilier

Des prêts magiques qui grossissent tous seuls !
Vous pensiez avoir assisté au pire avec les faillites actuelles dans le secteur des prêts à risque aux USA ?...le "meilleur" est en réalité à venir avec les prêts "neg-ams" et "interest only". Cette fois ce seront toutes les catégories d'emprunteurs qui seront concernés. Et l'impact sera encore bien plus fort.

Quelques explications :

Dans notre système bancaire "traditionnel", on rembourse un prêt de façon classique : à chaque mensualité, on paye une part d’intérêts et une part de capital, le capital restant du diminuant progressivement jusqu’au remboursement du prêt.

Aux USA et dans certains autres pays, des prêts beaucoup plus "exotiques" ont été inventés, et sont de véritables bombes à retardement pour le système : les prêts « interest only » et les « neg-am ».

Les prêts « interest-only » sont des prêts ou on ne paie que les intérêts (donc sans rembourser le capital) pendant une période de quelques années. Comme les miracles ont une fin, vient un moment (au bout de 5 ans en général) ou il faut aussi rembourser le capital. Quand ce moment arrive, l’annuité augmente brutalement et le pauvre emprunteur devra donc soit vendre sa maison, soit prendre un nouveau prêt (possible tant que l'immobilier monte), soit payer sa nouvelle annuité...chose qu'il sera en général incapable de faire.

Mais Il y a encore beaucoup mieux : Une partie des emprunteurs n'étant plus capables de rembourser les seuls intérêts de leur prêt, on a inventé à leur intention les "Neg-ams" (prêts à amortissement négatif).
Dans ce type de prêt, l’emprunteur a la possibilité de ne même plus rembourser la totalité des intérêts, il a juste une « mensualité minimum » à payer, d’un montant très faible. Exemples :
- 321 $ pour obtenir 100000$ chez Aimloan,
- 529$ pour obtenir 200000 $ chez 24/7… non vous ne rêvez pas !)

Comme il n’y a pas toujours pas de miracle, la part des intérêts non remboursés vient alors grossir le capital du et le prêt grossit « tout seul » au lieu d’être remboursé.
Tant que le montant du prêt à rembourser n’a pas augmenté au delà d’une limite fixée (en général 110 ou 115% du prêt initial) tout va bien et l'emprunteur coule des jours heureux et insouciants dans sa splendide maison.
Mais dès que cette limite est dépassée (en moyenne au bout de 3 ans), la bombe à retardement se déclenche : le doux prêt "Neg-Am" est automatiquement transformé en prêt classique à taux variable.
Il faut rembourser les intérêts et le capital...Le pauvre emprunteur voit alors en l'espace d'un mois seulement sa mensualité multipliée d’un coup par 2 ou 3, n'a pas remboursé un centime sur son capital et doit même 10% de plus qu'au début du prêt).
A noter que le moment de cette "transformation" est totalement impossible à prévoir pour un particulier non expert, dépendant des marchés de taux d'intérêt et de calculs particulièrement complexes...
pour ceux qui en ont le courage, explications en anglais de "tanta" ici, (prévoir beaucoup d'aspirine avant lecture !). En tout cas l'emprunteur lambda n'a aucune chance de comprendre ce mécanisme !

Voici à titre d'exemple un tableau issu des simulations de la société « Aimloan.com »

Mois Mensualité minimum Capital restant du
1 321,64 100 000
13 345,76 102 725
25 371,69 106 501
35 371,69 110 343
36 889,70 110 259


Les mensualités augmentent d’abord au rythme de 7,5% par an…déjà pas mal mais ce n’est rien à coté de ce qui arrive au mois 36 : la mensualité passe de 371 à 889 $ d’un seul coup (et continue d’augmenter ensuite)…

Le plus grave de l'histoire est à venir :

Les prêts "neg-am" sont en effet autorisés par la banque sur la base des capacités de l’emprunteur à rembourser seulement la mensualité minimum de départ (321$ dans notre exemple). L'immense majorité de ces emprunteurs seront donc incapables de rembourser lors de la "transformation du prêt" :
Connaissez vous beaucoup de ménages capables de résister à une multiplication par 2,4 de leur mensualité en un mois ? Pas moi !

En situation de hausse de l’immobilier, tout se passe quand même bien : l’emprunteur garde son prêt uniquement pendant la période « remboursement minimum », revend sa maison au bout de 3 ans juste avant la « hausse brutale » (ou reprend un nouveau prêt si il pense que ça va encore monter), la plus value lui permet de rembourser son prêt et il pourra même en conserver une partie.
Il aura en prime profité de sa belle maison 3 ans en payant des mensualités très faibles, ou l’aura même loué plus cher que ses mensualités, retirant ainsi un bénéfice sans débourser un sou.
Un vrai conte de fées qui a séduit de très nombreux emprunteurs depuis 2004.

En situation de baisse (c’est le cas depuis juillet 2006 aux USA), le miracle tourne par contre au cauchemar :
En prenant un rythme de baisse à 8% par an (on en est déjà à –8% entre juillet 2006 et février 2007 aux USA, donc ce rythme a toutes les chances d’être dépassé), la maison de 100000$ ne vaudra plus que 77 868$ à la revente au bout de 3 ans.
Le prêt à rembourser lui par contre aura augmenté à 110000$ pendant le même temps.
Résultat : l’emprunteur se retrouve en faillite, sans logement, et avec une ardoise de 32 132$ (en supposant qu'il ait réussi à revendre sa maison). Et la banque se retrouve avec un client incapable de rembourser.

Cet exemple utilisait un petit prêt de 100 000 $. Dans la réalité, le montant des prêts immobiliers aux ménages est bien plus élevé et dépasse souvent 200 000 ou 300 000$.

Dans le prochain article nous verrons à quel point ces prêts sont répandus aux USA, les manipulations comptables qui leur sont associées dans le système bancaire et ce qu'il faut en attendre sur l'immobilier et l'économie en général.


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Et le pétrole qui monte qui monte ...

Le baril de pétrole brut a touché un nouveau record absolu mardi à New York, au-dessus de 81 dollars, grâce aux attentes d'une baisse des taux d'intérêt américains propre à soutenir la demande, et alors que le marché s'affole déjà de la fonte des stocks avant l'hiver.

Le baril de "light sweet crude" pour livraison en octobre a bondi en début d'échanges à 81,24 dollars à New York, un prix jamais vu de mémoire de courtier.

Depuis qu'il a passé le seuil des 80 dollars pour la première fois mercredi dernier, le cours du pétrole enfonce record sur record. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril valait 80,85 dollars, en hausse de 28 cents, vers 10H30 GMT.

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L'euro flirte avec le seuil de 1,41 dollar pour la première fois de son histoire

Des billets en euro et en dollars
© AFP/Archives Bertrand Langlois
L'euro a frôlé jeudi la barre de 1,41 dollar, un niveau historique, toujours porté par la décision de la Réserve fédérale américaine (Fed) de baisser d'un demi-point de pourcentage ses taux d'intérêt.

Vers 21H00 GMT (23H00 à Paris), l'euro valait 1,4065 dollar, contre 1,3957 dollar mercredi à 21H00 GMT. Il avait atteint en séance un pic à 1,4098 dollar, soit un nouveau record historique.

C'est le moment d'acheter des biens immobiliers aux USA...
Manager Managericon_post
Encore faudrait-il qu'il nous reste des euros. ;-)
zamaiev zamaievicon_post
Pain, viande, sucre, maïs, riz, tous plus chers avec la flambée du pétrole

Un magasin d'alimentation à Caen
© AFP Mychele Daniau
La flambée du pétrole ne frappe pas que les automobilistes au portefeuille: elle pousse aussi à la hausse le prix des céréales, et donc des aliments les plus consommés au monde - pain, maïs, riz et pâtes - mais aussi par ricochet sucre, viandes, lait, oeufs et beurre.

La hausse des prix du brut, qui a établi la semaine écoulée un nouveau record de 90 dollars le baril, dope le développement des bio-carburants de substitution tirés du maïs ou du blé, expliquent les analystes.

L'éthanol ou le biodiesel deviennent un débouché croissant des grandes cultures, d'où une hausse générale des prix des productions végétales et animales, a récemment souligné la FAO, l'agence des Nations unies en charge des questions agricoles et alimentaires.

De l'ordre de 152 dollars en moyenne la tonne jusqu'en 2006, le blé vaut désormais 204 dollars la tonne, soit une hausse de plus de 25%, et va encore progresser lors de la campagne 2007/2008, selon la FAO et l'OCDE, le club des pays les plus riches de la planète.

Le maïs a lui bondi de 26%, passant de 103,6 dollars la tonne entre 2001-2006 à 140,4 dollars la tonne en 2006/2007, et devrait se hisser à 158,9 dollars cette année. Au Mexique, où cette céréale constitue la base de l'alimentation, le prix des tortillas (galettes) a bondi de 60%.

Cette progression substantielle touche aussi les huiles végétales (+11%), le sucre (+14%) et le riz (+23%).

Elle pousse à la hausse les prix de tous les aliments de base, y compris le lait et la viande, les céréales étant utilisés pour nourrir le bétail.

En Chine, le prix des porcs a augmenté de 20% en un an, tandis que celui du boeuf a crû de 6%, selon la FAO.

Aux Etats-Unis, le prix de gros du poulet sera cette année en moyenne de 10% plus haut qu'en 2006, selon le ministère de l'agriculture. Une douzaine d'oeufs y coûtera 21% de plus et le lait sera 14% plus cher.

Les prix du beurre, du fromage, du lait et de la viande vont aussi croître d'au moins 15% en 2008, souligne la FAO.

"Nous avons atteint des niveaux jamais vus. Ce qui est sûr c'est qu'on va aller encore plus haut, mais on ne saurait dire jusqu'où", explique Joe Victor, analyste chez Allendale. Les consommateurs "doivent s'attendre à des prix élevés du pain, pâtes, viande, graines, céréales au moins jusqu'à l'hiver 2008", souligne-t-il.

Le phénomène risque de se poursuivre en raison de l'utilisation encore plus élevée en 2007/2008 des céréales, du sucre, des graines oléagineuses et des huiles végétales pour la production des biocarburants.

Alors que seulement 16% de la récolte 2006 des céréales américaines avait servi à produire de l'éthanol, cette année près d'un tiers de la récolte de céréales y sera destinée, souligne US Agri.

"Les prix de la plupart des céréales vont poursuivre leur augmentation en raison de la demande conjointe de l'industrie agroalimentaire et de l'industrie énergétique", avance Bill Nelson, analyste chez A.G Edwards.

La production annuelle d'éthanol américaine à partir du maïs devrait doubler entre 2006 et 2016, tandis que dans l'Union européenne, les volumes d'oléagineux (principalement de colza) destinés à la production de biodiesel devraient passer d'un peu plus de 10 millions de tonnes (Mt) à 21 Mt au cours de la même période, d'après l'Institut français du Pétrole (IFP).

Sur les cinq dernières années, la croissance mondiale de la production de biocarburants a été de l'ordre de 15% par an, selon l'IFP.

Les prix des céréales restent par ailleurs soutenus par des facteurs conjoncturels comme la faiblesse du dollar ou la sécheresse, qui a compromis la récolte des pays comme l'Australie et le Brésil.

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Le pétrole termine la semaine sur de nouveaux records à Londres et New York

© AFP/Archives Behrouz Mehri
Les cours du pétrole ont atteint vendredi de nouveaux records à New York et à Londres, poussés par les tensions géopolitiques, le déclin des stocks américains et la faiblesse du dollar.

A New York, le baril de "light sweet crude" est monté jusqu'à 92,22 dollars, dépassant largement sa précédente marque de référence (90,60 dollars), qui datait de la veille.Il a aussi réalisé un record de clôture, en terminant à 91,86 dollars (+1,40 dollar).


Nouveau record de l'euro, qui effleure le seuil de 1,44 dollar

Des dollars et des euros
© AFP/Archives Bertrand Langlois
L'euro a de nouveau battu des records vendredi et frôlé le seuil de 1,44 dollar, alors que la succession de mauvaises nouvelles économiques aux Etats-Unis cimente les attentes d'une baisse des taux d'intérêt américains dès la semaine prochaine.
La devise européenne a grimpé vers 15H50 GMT jusqu'à 1,4393 dollar, un niveau jamais atteint depuis sa création en 1999.
Elle a grimpé de quasiment 6% depuis le début du mois de septembre. Sur un an, elle affiche une progression de 14%.





antidry antidryicon_post
Merci CHer Ami pour ton eclairage economistique de la conjoncture actuelle ...

La tempete risque d etre rude et longue ...

Tenez la barre Ferme .... Malheur à celui ou celle qui tombe à l'eau, aucun gilet de sauvetage ne permettra de surnager dans les deferlantes qui arrivent ....


All The World is a Stage ;-)



zamaiev zamaievicon_post
Un autre message prémonitoire du même devin :

http://www.boursorama.com/forum/message.phtml?file=358850818&pageForum=1


(114) LA DECLARATION APOCALYPTIQUE DU FMI denissto (denissto) 22:26 05/04/07

LA DECLARATION APOCALYPTIQUE DU FMI
AVIS DE DECES : LE DOLLAR
non ce n'est pas un fou de putteux, un delire iconoclaste, mais le FMI qui l'annonce et personne ne s'inquiete:
je me permet de reprendre point par point la declaration

FMI: une dépréciation, même modeste, du dollar, réduirait les déséquilibres , bon pour l'instant tout va bien ...............on continue

Une dépréciation réelle du dollar des États-Unis et une appréciation réelle des monnaies des pays qui affichent des excédents courants pourraient faciliter la réduction de ces déséquilibres", estiment les experts du Fonds......

ce n'est plus "modeste" mais" reelle" je traduit: il faut que ceux qui ont fait des economies, gérés avec rigueur paye les gabegies americaines

on continue, c'est du delirium tremens:

Selon cette analyse, "une dépréciation réelle du dollar inférieure à 10% pourrait engendrer une réduction du déficit commercial des États-Unis égale à 1% du PIB", alors que les études économiques situent habituellement la dépréciation nécessaire dans une fourchette de 10 à 20%, précise le FMI

le monde entier doit s'assoir sur 10% de ses actifs en dollar pour que ces messieurs reduisent leurs deficits de 1%, l'asie va beaucoup apprecier, surtout qu'il ne faut pas ecarter 20%de baisse. la pillule dite, ne vous semble pas un peu amere? non ?

bon alors lisez la suite :

Pour réduire sans crise financière majeure les déséquilibres mondiaux, l'Europe doit accepter un euro à plus de 1,45 dollar, à condition que le yen japonais et le yuan chinois montent fortement vis-à-vis de la monnaie unique, affirmaient les auteurs de cette analyse publiée fin mars

une tel configuration messieurs du FMI cela s'appelle un krach monetaire, je le dis depuis un moment sur ce forum, merci aux genis du FMI de me lire

vous n'en pouvez plus de supporter ces technocrates apocalytique et bien ils en rajoute une couche:

La question-clé est de savoir si ce sont les marchés financiers ou les mesures politiques qui provoqueront un ajustement nécessaire et inévitable", poursuivaient-ils, mettant en garde contre les risques d'une récession mondiale.

traduction vous y aurez droit de gré ou de force............................

je ne rapporte ici in extenso que les propos du FMI



Nous sommes le 31/10/07

Les cours du pétrole ont dépassé mercredi pour la première fois le seuil de 95 dollars le baril à New York et celui de 91 dollars à Londres, lors des échanges électroniques d'après séance, après la publication d'un fort recul des réserves américaines de brut.

Vers 21H00 GMT, le baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre prenait 4,75 dollars à 95,14 dollars, peu après être monté jusqu'à 95,28 dollars, un nouveau record absolu.

Dans la journée de mercredi, les prix du pétrole côté à New York ont franchi coup sur coup le seuil de 94 dollars puis celui de 95 dollars.

L'euro dépasse pour la première fois 1,45 dollar après la décision de la Fed
L'euro a battu de nouveaux records mercredi face au dollar, dépassant pour la première fois le seuil de 1,45 dollar, peu après la décision de la Réserve fédérale (Fed) d'abaisser d'un quart de point de pourcentage son principal taux d'intérêt.

A 19H25 GMT, l'euro valait 1,4463 dollar, contre 1,4439 mardi vers 22H00 GMT. Il est monté vers 19H00 GMT jusqu'à 1,4504 dollar, un nouveau record absolu.

Comme attendu par les analystes, la Réserve fédérale américaine (Fed) a donc abaissé mercredi d'un quart de point à 4,50% son principal taux directeur, soulignant les risques de ralentissement de l'économie face à l'intensification de la crise immobilière.






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Spaghettis et macaronis plus rares et chers avec la flambée des prix du blé

Pâtes dans un magasin à Caen
© AFP/Archives Mychele Daniau
Pour les amateurs de spaghettis la note s'alourdit: depuis quelques semaines les fabricants répercutent dans leurs prix l'envolée des cours du blé dur, un phénomène lié aux mauvaises récoltes céréalières mondiales et à la fonte des stocks de ce type de blé.

"Jamais nous n'avons été confrontés à pareille situation. Le prix de la tonne de blé dur, matière première pour confectionner des pâtes sèches, a triplé en un an, passant de 180 euros la tonne en janvier dernier à plus de 470 euros en octobre", explique Christiane Petit, secrétaire générale du syndicat des industriels fabricants de pâtes alimentaires de France (SIFPAF)

"L'impact de cette envolée des prix est toutefois à relativiser pour le consommateur. Il sera de l'ordre de 25 centimes par mois (hausse de 15% du prix du vente d'un paquet de 500 grammes) pour un foyer français qui avale chaque année 11 kilos de pâtes", tempère Mme Petit.

Pour l'instant les groupes de distribution tentent de limiter pour les consommateurs la hausse des prix réclamée par les fabricants de pâtes.

Selon le porte-parole de Système U (hyper U et magasin U) les fabricants ont augmenté leurs prix de 20% en juillet, de 15% en septembre, de 5% en octobre et de 13% en novembre, soit 50% environ en 5 mois.

D'après l'Insee, le prix d'un paquet de spaghettis est resté stable au cours des dix dernières années, valant en 1997 4,95 francs et en septembre 2007 0,72 euros, soit 4,75 francs.

Il faut dire que le marché européen des pâtes était plutôt coutumier de baisses ces dernières années en raison d'une surproduction de cet aliment apprécié particulièrement aux Etats-Unis et en Europe, mais aussi depuis quelques années par les consommateurs de pays émergents.

L'Italie, premier producteur mondial de pâtes avec 3,22 millions de tonnes fournit à la France plus de 50% des pâtes qu'elle consomme et elle produit la quasi totalité des pâtes commercialisées sous la marque des grands distributeurs.

Compte-tenu des mauvaises récoltes céréalières ces deux dernières années et de l'effondrement des stocks de céréales, la crise risque de perdurer chez les "pastiers" au cours des prochains mois, estiment les professionnels.

La production mondiale de blé dur ne cesse de diminuer, étant passée de 40 millions de tonnes en 2004 à 34 millions l'an dernier en raison notamment de mauvaises conditions climatiques.

Depuis deux ans les stocks de report ont également dégringolé en particulier chez les trois principaux exportateurs mondiaux: Canada, Etats-Unis et Union européenne.

"Le risque de pénurie de pâtes dans les six mois à venir n'est donc pas à exclure", avance Mme Petit.

Déjà certains rayons de grandes surfaces ne sont plus en mesure d'offrir à l'amateur de coquillettes son produit préféré, le magasin étant en rupture de stocks.

Des fabricants italiens de pâtes auraient récemment rompu des contrats avec de grandes enseignes (Casino ou Leclerc) qui ont refusé de réviser leurs tarifs, confient des professionnels du secteur.

Chez Auchan on indique ne pas connaître des difficultés particulières d'approvisionnement même si on admet que les négociations avec les fabricants ne sont pas faciles actuellement.

La France produit 240.000 tonnes de pâtes par an, tandis que sa consommation s'élève à 464.000 tonnes (55% importés).

En Europe l'Italien est le premier amateur de pâtes avec 28 kilos consommés par chaque habitant en un an. Viennent ensuite le Grec (10 kilos), le Suisse 59,4 kg), le Suédois (9 kg) et le Français (7,5 kilos).

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Un courtier s'offre, pour la postérité, le premier baril à 100 dollars

Des courtiers, à la corbeille sur le marché du Nymex, le 2 janvier 2008 à New York
© AFP/Getty Spencer Platt
Le niveau historique de 100 dollars le baril de pétrole à New York a été atteint pour la première fois avec la pichenette d'un courtier indépendant, qui rêvait de faire passer son nom à la postérité, selon un scénario évoqué jeudi par le marché.

"Le chiffre magique aurait apparemment été touché à cause d'une transaction, qui serait, selon la version qui circule, une tentative individuelle d'attirer la gloire pour les uns, plutôt l'infamie pour les autres", rapportaient jeudi les analystes de la maison de courtage Sucden.

Un opérateur a indiqué à l'AFP que le courtier en question était employé par un petit groupe américain basé à New York.

"Alors que le pétrole s'échangeait à 99,60 dollars, ce courtier, travaillant à la corbeille sur le marché du Nymex, a offert la somme de 100 dollars pour un lot de 1.000 barils, le volume minimum qu'on puisse acheter sur ce marché. Il l'a ensuite immédiatement revendu à perte à un autre indépendant", a expliqué cet acteur du marché.

Son identité n'a pas été révélée dans l'immédiat.

"Il a payé 600 dollars (sa perte dans la transaction) pour pouvoir raconter à ses petits enfants qu'il était le premier au monde à acheter du pétrole à 100 dollars" le baril, a commenté dans une interview à la BBC Stephen Schork, un ancien broker new-yorkais éditant une lettre spécialisée.

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Je n'y connais rien en bourse ou économie alors merci par ce post de nous résumer ce qui ce passe.
Le baril à 100 dollars, ils en ont parlé à la télé mais ce mec qui fait grimper les prix pour le plaisir c'est incroyable.
A cause de lui, la barrière psychologique (si on peut dire) a été franchie. On s'attendait à ce que cela augmente mais quand même.
Demain je vais faire mes courses : mes yaourts ont déjà bien augmenté.
Je n'ai pas de problème de fin de mois mais je fais attention quand même.
J'en profiterai pour faire le plein d'essence.
Au fait , elle a l'air bien la voiture à air comprimé. Ecolo, économique, et peut être dispo en 2009. Et pour 3500€ apparemment.
Le seul pb : où faire le plein ?
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Le pétrole dépasse les 110 dollars le baril pour la première fois

Puits de pétrole dans le Dakota du Nord, aux Etats-Unis, en mai 2007
© AFP/Archives Karen Bleier
Le prix du pétrole brut a dépassé mercredi le cap de 110 dollars le baril pour la première fois, en grimpant jusqu'à 110,20 dollars, un nouveau record historique.

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en avril a également terminé la séance tout près de ce seuil symbolique de 110 dollars. Il a gagné par rapport à la veille 1,17 dollar à 109,92 dollars, un nouveau record de clôture.

Le marché du pétrole a une nouvelle fois balayé ses records de la séance précédente, aussi bien à New York qu'à Londres, et continué de repousser plus loin ses sommets, parallèlement à une nouvelle chute du dollar qui pousse les investisseurs vers les marchés de matières premières.


L'euro franchit la barre de 1,55 dollar

Un euro et un dollar
© AFP/Archives Joël Saget
L'euro remontait mercredi face au billet vert, après avoir dépassé pour la première fois depuis son lancement en 1999 les 1,55 dollar, après une hausse de la production industrielle en zone euro et face au scepticisme des marchés sur l'action concertée des banques centrales.

Vers 19H00 GMT, un euro valait 1,5534 dollar, contre 1,5333 mardi vers 21H00 GMT. La devise européenne avait grimpé juste avant jusqu'à un nouveau sommet historique de 1,5538 dollar.

Elle était en légère baisse face au yen à 158,22 yens pour un euro, contre 158,57 yens la veille.

De son côté, le billet vert reculait aussi face à la monnaie nippone, à 101,87 yens pour un dollar, contre 103,42 mardi.

En zone euro, la production industrielle s'est affichée mercredi en hausse de 0,9% sur le mois de janvier par rapport au mois précédent, ce qui a valu à cette monnaie de repasser le seuil de 1,54 dollar vers 10H00 GMT et de dépasser ensuite son record de la veille, où elle s'était hissée jusqu'à 1,5495 dollar.

Certains économistes ont relevé que ce chiffre était de nature à dissuader la Banque centrale européenne (BCE) de baisser son taux directeur, actuellement à 4%, ce qui a soutenu la monnaie unique dont le rendement devrait ainsi rester plus élevé que celui du dollar, les taux d'intérêt étant de 3% aux Etats-Unis.

"La faiblesse du dollar face à l'euro est cohérente avec les fondamentaux économiques que nous connaissons, la récession américaine pour ne pas la nommer, alors que la zone euro résiste relativement bien", estime Julian Jessop, de Capital Economics.

Aux Etats-Unis, les créations d'emplois, par exemple, en recul marqué pour le mois de février, ainsi que les prévisions moroses publiées dans le Livre Beige de la Réserve fédérale (Fed) la semaine dernière, ont inquiété les cambistes qui continuent à vendre des dollars, jusqu'alors considérés comme une valeur-refuge, plutôt qu'à en acquérir au profit de son grand concurrent sur le marché des changes, l'euro.

Mardi, l'annonce d'une action coordonnée des grandes banques centrales, dont la Fed, avait permis au dollar de regagner un peu de terrain, mais la tendance s'est inversée mercredi, les investisseurs estimant que cela ne suffira pas à résoudre complètement la crise du crédit.

"Les journaux étaient pleins ce (mercredi) matin de commentaires pessimistes sur les limites de l'action de la Fed et les investisseurs réalisent que cela ne résout pas le problème des banques, dont les actifs restent suspects depuis la crise des +subprime+", commente pour l'AFP Thomas Stolper, économiste chez Goldman Sachs.

Si les spéculations autour d'une baisse drastique des taux d'intérêt de la Fed lors de sa prochaine réunion le 18 mars ou, comme l'anticipaient plusieurs analystes, d'une façon surprise, à l'image de son action du 22 janvier, se sont effondrées, encourageant mécaniquement une hausse du dollar, ce dernier n'a pas réussi à conserver ses gains.

Bixente64 Bixente64icon_post
Tiens...

La question a été posée à un eminent élu de la majorité afin de savoir comment le gouvernement comptait adoucir un peu la hausse du côut des produits pétroliers et ce afin que les français puissent continuer à faire le plein de leurs voitures indispensables pour se rendre sur leur lieu de travail afin de travailler plus pour pouvoir gagner plus sans être obligés de demander à leur pompiste préféré, un automate donc, si celui-ci lui offre la possibilité de régler son plein en plusieures échéances.
En effet, et je le rappelle, comme ça, en passant, le prix de l'essence, en France est la somme du prix du carburant majoré de quelques taxes comme la T.I.P.P. et la T.V.A... ceux-ci ayant comme conséquence de porter le prix d'un litre d'essence à des niveaux jamais atteinds.

Prenons un exemple...

Le prix du gas-oil :

Prix du brent (la base) : 0,29€
Prix du raffinage : 0,10€
Prix de la distribution : 0,07€
T.I.P.P. : 0,42€
T.V.A. : 0,17€

Total (!) : 1,05€... l'exemple est un peu ancien et daté d'avant Nicolas Ier

Le total (bis) des taxes est donc d'environ 60% du prix total (ter) du produit à la pompe.

La réponse de cet élu ravi fût : rien. Le gouvernement ne fera rien, ou conseillera comme le fît Dâme Lagarde du haut de sa lourde défaite de dimanche : prenez vos vélos. Car le gouvernement ne peut rien faire ; les caisses sont vides. Oh ! Bien entendu, lorsqu'il fût question de renvoyer à Mme Liliane Bettancourt, cet été, un trop perçu de la part du service des impots, les mêmes trouvèrent, au fond du coffre-fort quelques milliards d'euros et purent donc ainsi rédiger un petit chèque de plus de 2 000 000,00 € à cette dame dont la fortune est estimée à 15 000 000 000,00€. Elle a du bien rire et permettre à son gestionnaire de patrimoine de placer dans quelque lieu sur ce petit pourboire... Alors ensuite, pour les pauvres, les nécessiteux, la France qui travaille, celle qui oeuvre pour pouvoir arriver à la fin du mois sans recevoir un coup de téléphone de son banquier, rien, nada, que dalle.

Vous n'avez plus de pain, mais mangez donc de la brioche !
Là où commence le découragement, se lève la victoire des persévérants.
ElGringo ElGringoicon_post
Dans le premier post une phrase interessante :
"Les mensualités augmentent d’abord au rythme de 7,5% par an…déjà pas mal mais ce n’est rien à coté de ce qui arrive au mois 36 : la mensualité passe de 371 à 889 $ d’un seul coup (et continue d’augmenter ensuite)…

Les crédits "subprime" les plus risqués ayant été accordés sur une période de plusieurs dizaine de mois, la crise est donc en décalé de ces 36 mois au bout desquels les mensualités sont fortement réévaluées (car les premiers 36 mois sont à un taux "attractif" au delà du fait que les mensualités ne sont pas à montant constant comme nous le connaissons en France.
Cette crise n'est donc pas évaluée car pas totalement évaluable avant ces 36 mois !
Le plus gros des subprimes datant de 2005 et 2006, il faudra attendre fin 2009 pour comptabiliser la quasi totalité des pertes.

El Gringo
zamaiev zamaievicon_post
Mon petit post du mois d'aout l'année dernière est plus que jamais d'actualité, la chute du dollar et le prix du brent qui s'envole sont des épiphénoménes qui cachent une crise profonde et dont les effets vont commencer à se faire sentir...(recession au usa) Les banques commencent à hésiter à se preter de l'argent, mais la je trouve qu'ils sont allés trop loin dans la connerie (excusez du terme) je parle de la planète finance.
Bixente64 Bixente64icon_post
Tiens...

Je fais remonter.

Aujourd'hui, nous y sommes, en plein. Et maintenant, il semblerait que la machine s'étant mise en marche, plus rien ni plus personne ne puisse l'arrêter.

Quand je pense certains souhaitaient que nous placions nos neuros si rudement gagnés à la sueur de nos fronts dans des fonds de pension pour préparer nos vieux jours... Heureusement que, au final, le système actuel a été maintenu...
Au fait, comme ça, en passant, manière de discuter... Quel est le déficit des caisses de retraite dont on nous rabat les oreilles depuis des décennies en prenant un air entendu genre "c'est un gouffre que dis-je, un abysse"... Et quel est le montant de neuros qui va être laché pour maintenir nos banques, assurances à flôt ?
Les esprits éclairés me rétorqueront que cela n'a rien à voir et qu'il s'agit là plus d'une technique intelectuelle chère à feu Socrate qu'à l'esprit des Lumières, mais quand même...

Comment peut-on, en si peu de temps, nous raconter, pauvres couillons que nous sommes, que les caisses sont vides avec un air de chien mouillé, qu'il n'y a plus un fifrelin en caisse, que c'est la déroute, la Berezina et puis, comme par miracle, tel un magicien de cirque, sortir aujourd'hui des milliards de neuros du chapeau tel un prestidigitateur ? La dette... Lorsqu'il s'agit de contenter, un peu, les masses de couillons laborieuses, qu'il sont beaux les donneurs de leçons qui viennent nous narrer l'histoire de la France qui n'a plus le sou... Lorsqu'il s'agit de protéger la bourse, les actions, les banques, les assurances, les mêmes sortent rapidement le chéquier et payent sans compter les errances de ces nobles argentiers d'opérettes qui, du haut de leurs certitudes farcies de diplômes se sont fourvoyés, se sont plantés, se sont gaufrés... mais se sont goinfrés pendant des années.

Le capitalisme.

Il parait qu'il s'agit là de la seule et unique théorie qui vaille ; le reste ne pouvant faire que l'objet de railleries.

Mesdames, Messieurs, vous avez le bonsoir du capitalisme. Pleurez bien vos maigres économies et regardes devant vous ; la lumière qui apparait au fond du tunnel n'est pas la sortie de celui-ci mais juste le train qui arrive en face.

Bon courage.
ElGringo ElGringoicon_post
Tout n'est pas à jetter à la vindicte populaire dans le capitalisme !

Il est vrai que par les temps qui courent, un bon amalgame bien conssistant, ça donne du nos nos à ronger à nos concitoyens.

Il ne faut plus parler de récession, mais de Dépression à ce stade de la compétition.

Si le premier terme est enfin publiquement toléré, c'est que ce stade est déjà dépassé !

Du crédit encore du crédit, entouré de beaucoup de crédit d'ailleurs et sans la moindre suspicion, cela fut l'overdrive des 30 dernières années, afin d'atteindre les sacro saint 3% d'expansion sur lesquels sont basés toutes nos politiques.

Au delà du crédit immobilier, US en particulier dont on nous rabat les oreilles depuis plus d'un an maintenant, il se cache surtout le ou plutôt les crédits à la consommation, dont les US sont les champions, mais auxquels nous avons nous autre européens succombés aussi.

Et là cela va impacter fortement notre économie, en réduisant d'autant les achats de tout un chacun, donc directement la production des biens et services. La Totale !

Ce n'est pas tant le Capitalisme, que sa dérive qui consiste à s'appuyer massivement, hors de proportion, sur des crédits, donc des dettes, pour alimenter l'activité, qui est en cause.
El Gringo



Message édité par : ElGringo / 11-10-2008 11:01

ElGringo ElGringoicon_post
Economie réelle et Dépression :

Le cours de GM est tombé près de son plus bas en soixante ans et celui de Ford à son plus bas en 26 ans.

Le directeur général de Ford, Alan Mulally, a exclu que le groupe fasse faillite, assurant que le numéro deux américain de la construction automobile gérait ses liquidités avec une prudence extrême dans le contexte actuel.

L'action GM est tombée à 4 dollars vendredi matin, son cours le plus bas depuis 1949, mais après la publication du communiqué, elle s'est redressée et a terminé en hausse de 13 cents, soit 2,7%, à 4,89 dollars.

Elle en valait 43,20 il y a un an. reuteurs 11.10.08

El Gringo
zamaiev zamaievicon_post
Citation : Bixente64 

Quand je pense certains souhaitaient que nous placions nos neuros si rudement gagnés à la sueur de nos fronts dans des fonds de pension pour préparer nos vieux jours... Heureusement que, au final, le système actuel a été maintenu...
Bon courage. 

Qui a eu le courage de réformer le système des retraites : la droite , qui a maintenu le système de répartition : la droite , malgré le courant libéral (madelin).
CQFD
zamaiev zamaievicon_post
Citation : Bixente64 

Au fait, comme ça, en passant, manière de discuter... Quel est le déficit des caisses de retraite dont on nous rabat les oreilles depuis des décennies en prenant un air entendu genre "c'est un gouffre que dis-je, un abysse"... Et quel est le montant de neuros qui va être laché pour maintenir nos banques, assurances à flôt ?
Les esprits éclairés me rétorqueront que cela n'a rien à voir et qu'il s'agit là plus d'une technique intelectuelle chère à feu Socrate qu'à l'esprit des Lumières, mais quand même...

Comment peut-on, en si peu de temps, nous raconter, pauvres couillons que nous sommes, que les caisses sont vides avec un air de chien mouillé, qu'il n'y a plus un fifrelin en caisse, que c'est la déroute, la Berezina et puis, comme par miracle, tel un magicien de cirque, sortir aujourd'hui des milliards de neuros du chapeau tel un prestidigitateur ? La dette... Lorsqu'il s'agit de contenter, un peu, les masses de couillons laborieuses, qu'il sont beaux les donneurs de leçons qui viennent nous narrer l'histoire de la France qui n'a plus le sou... Lorsqu'il s'agit de protéger la bourse, les actions, les banques, les assurances, les mêmes sortent rapidement le chéquier et payent sans compter les errances de ces nobles argentiers d'opérettes qui, du haut de leurs certitudes farcies de diplômes se sont fourvoyés, se sont plantés, se sont gaufrés... mais se sont goinfrés pendant des années.

Le capitalisme.



Première remarque :
Il ne faut pas confondre Capitalisme et Financiarisation de l'Economie.

Deuxième remarque :
Sauver les banques ca permet de sauver l'économie, c'est a dire les emplois.
Si on ne sauve pas les banques, elles ne peuvent plus financer les entreprises , et par exemple les entreprises qui ont de gros problèmes de liquidités comme GM ou Ford, et donc c'est la réaction en chaine.

Troisieme remarque :
La nationalisation partielle a un cout, qui sera financé par de l'endettement et au final l'Etat reprivatisera et je fais confiance à l'Etat pour en tirer une plus value : Alstom illsutre parfaitement cet exemple.

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