En général on commence par en parler avec l'intéressé pour voir où est le problème, pas compris, pas envie, etc.
Mais c'est vrai que ça commence par une certaine rigueur au comptoir.
Nous avons actuellement une perle chez nous. Depuis qu'elle s'en occupe, non seulement une bonne partie des arriérés ont été traités, mais aujourd'hui nous avons très peu de rejets. Mais c'est un gros investissement au départ.
Le problème c'est que si les rejets ne sont pas traités à mesure, les dossiers du patient concerné s’empilent, la trésorerie s'envole et le travail peut vite devenir démotivant.
La première chose à faire, me semble t'il, c'est qu'il ne doit pas y avoir plus d'un dossier rejeté pour un patient. Si celui qui trouve un rejet dans le compte d'un patient ne traite pas le problème, c'est sur que le responsable des rejets peut se sentir le larbin des autres ce qui n'est pas très motivant.
Pour m'en être occupé par le passé c'est un travail qui demande pas mal de temps, peut-être la personne ne dispose t'elle pas d'un créneau horaire dédié. Parce que quand tu as 50 rejets et que tu dois t'arrêter toutes les deux minutes, c'est aussi une source de démotivation.
Mais tout ça tu ne le sauras que si tu l'écoutes.