Bonjour le témoignage. C'est vraiment la grande muette ici.

bon, puisque tu en parles, décris-nous les solutions objectivement lorsque tu sors avec ton diplôme.

Allez je lance les pistes : officine (on à vu les limites), pharmacie à usage intérieur souvent confisqué par les titulaires (encore une belle justice celle-là) dans les centre de soins, vrp (pardon visiteur médical), industrie (si filière industrie), labo (si internat), inspection (concours)... Bah je vois pas grand chose d'autre, mais je suis déjà dépassé (le diplôme est loin) alors éclaire-nous.
Cherche bien parce que j'ai essayé pas mal de choses figure-toi donc je pourrais t'en parler du tremplin fabuleux que constitue notre doctorat.

Hello,

Je vais être direct:
Il n'y a aucune solution pour celui qui ne reçoit pas 200 000 euros d'un coup. (Une économie tellement longue à laquelle beaucoup préfèrent un placement dans un logement), donc pas trop le choix...une grand mère fortunée qui décède, un oncle généreux sans enfants, des parents blindés...

En fait la vraie solution, si le numerus reste, c'est le partage...pas des richesses, mais de l'application du diplôme.
Cette idée existe déjà:, il s'agit d'une idée que nos confrères biologistes défendent (car eux aussi très attaqués par des financiers sans vergogne), mettant en évidence la nécessité de l’acquisition d'un outil de travail pour les professionnel de santé que nous sommes: il suffirait que pour tout contrat en CDI, le diplômé ai le droit (même le devoir) de détenir une part de la structure dans laquelle il exerce (avec un minimum fixé évidement).

Cela me parait évident, et réglerait bon nombre de problèmes.

Il s'agit de la reconnaissance du diplôme. Cette règle serait d'autant plus efficace dans notre cas, car les créations rendues impossibles, les prix trop élevés réduisent trop fortement les chances à l'installation, "chance" étant un terme inapproprié car nos études nous font croire plutôt à une "finalité"...

Qu'en pensez vous?

Titulaires, assistants, préparateurs?

J'en pense que du bien tant que ça nous "désempêtre" de cette situation actuelle.

Et c'est pas si con mais faudra régler le problème des pharmacies surendettées.

ça ressemble un peu au principe des avocats non ?

Réponse d'un jeune ex titulaire en cours de réinstallation:

L'idée est bonne pour moi, maintenant de quelle façon la mettre en application?

L'idée, ce serait que l'adjoint ne soit plus salarié mais un collaborateur. Il faudrait trouver un truc qui permette aux adjoints d'entrer et de sortir du capital de façon plus fluide.

Du genre, ouverture du capital de l'officine à l'adjoint sous forme de "stock option" bloquées dans le compte de la pharmacie et lors du départ de l'entreprise, ces dernières sont versées en fonction de la plus value du collaborateur.
Et au niveau rémunération, faire un truc comme les avocats, verser une rétrocession d'honoraires avec laquelle l'adjoint libéral devra payer ses propres charges: URSSAF RSI CAVP...

Enfin trouver une solution qui ne serait pas pénalisante pour le titulaire car c'est lui qui prend les risques et fournit l'infrastructure et qui permettrait de "revaloriser" ses confrères collaborateurs.

C'est une piste de réflexion, non? Après pour participer au capital, faut il faire payer un droit d'entrée?

Voilà c'est une idée à développer

A+ ERNAM

Ah ben là vous me faite rêver enfin de gens qui ont compris comment celà devrait fonctionner!!!
Faire exactement comme toutes les autres professions médicales en fait! Bon ben maintenant faudrait passer à l'action! Non?
Mais comment faire comment fédérer les adjoints, comment faire bouger le truc? En parler à qui? Des idées?

l'ordre organise une journée-congrés exclusivement sur internet entre le 12 et 14 mai 2011 consacré aux adjoints......il faudrait s'y exprimer le jour J....

PharmaFC, t'as vu çà où qu'il y a journée discussion en Mai?Je suisallé sur le site de l'Ordre et je vois pas de lien. Merci

Non c'est bon un collègue vient de mettre le lien