Ce que je constate devant l'apathie des uns (adjoints) et des autres (petits titulaires), c'est que les décideurs n'ont retenus aucunes leçons des crises successives et foncent comme des damnés vers la féodalisation intégrale : la confiscation totale de l'offre et du service par une élite de nébuleuses géantes.
Car ce projet n'empêchera aucunement les faillites des petites et moyennes structures et l'on permettra dans un proche avenir leur rachat par des chaînes qui pourront financièrement et techniquement offrir toutes les missions avenir cencés relancer l'officine (oui, mais les grosses).
Ca pue, mes amis. C'est le mort aux faibles. Ca sera pas dur de nous écraser, vu nos divisions et nos inégalités.
Maintenant, je le répète, à nous salariés d'avoir assez d'audace et d'intelligence pour ne pas accepter ces missions de nos employeurs sans contre-partie. A condition bien sûr que de facto elles soient non délégables aux non-pharmaciens. Sinon, c'est foutu.
Rdv au pôle emploi.