Bonjour,
Mes premiers pas en officine se sont fait durant mes études, pdt les étés et les tps perdu.
J'ai été surpris par le décalage avec ce que l'on apprend , le théorique, et la pratique.
Il faut que l'on "soigne" les gens (et ce n'est pas un euphémisme) pour le CA.
MAis il faut que l'on s'occupe d'eux car, malgré tout, un sentiment de professionnalisme s'empare de nous, et rien de plus satisfaisant de se sentir nécessaire.
Apres, vient le tps du stage (6 mois), une véritable mine d'or pour les titulaires, et pour moi les premiers déboires: vous apprenez votre métier malgré vous, vous êtes une main oeuvre pas chere mais très rentable. (pour moi, il a fallut que je fasse 2 semaines en plus, après le stage pour rattraper mes absences à cause des exams...et avec comme pharmacien présent dans la pharma...bein moi..autrement dit, du "black" déguisé)
Ensuite vient le tps des remplacements, premiers contrats, qui lorsque vous êtes près du'ne grande villes sont pris d'assaut..DOnc, contraint de bosser pour pas grand chose (docteur bac +6), avec et c'est de pire en pire, le manque de considération de la santé du patient pour satisfaire le lobbying pharmaceutique (qui s'étend du titulaire au labo... théorie du complot me direz vous)
Bref, l'avenir radieux auquel nous devions avoir accès, est mort.
Diplômé en 2008, je suis dégoûte, désorienté.
Mais pour vous faire une idée lisez les topics, vous trouverez ce que vous cherchez.
Cdt