Bon ben puisque ça ne vous inspire pas et que moi si, je continue.
Abordons le cursus.

Les pré-requis pour préparer le diplôme sont très large puisqu'entre un BEP SS, un bac pro et bac de l'enseignement général il y a de grands écarts qui sont souvent difficilement comblés.

Si on envisage de compléter ce cursus des acquis nécessaire à la progression du statut cela risque d'être insurmontable. Il me semblerait donc opportun d'égaliser vers le haut les pré-requis.

Nos collègues hospitaliers ont su faire évoluer leur métier par l'adjonction d'une année supplémentaire pour l'acquisition de la formation propre à leurs particularités. Je pense que prévoir un tronc commun sur deux ans et une année de spécialisation propre à l'activité exercée, hôpital, officine ou autre serait la bonne solution. Bien sur le diplôme obtenu de niveau BTS ou licence professionnelle permettrait de classer notre diplôme au niveau III ==> http://www.education.gouv.fr/cid14/licence-professionnelle.html

Concernant cette évolution, je pense que comme pour nos collègues hospitaliers, elle pourrait se résoudre par la formation initiale en alternance, par la formation professionnelle continue ou la VAE.

A votre écoute.

et si un nombre conséquent de préparateurs écrivaient à leur Député et à leur Sénateur, le politique ne pourrait plus ignorer cette revendication légitime de notre profession et peut-être pourrait-elle être mise à l'ordre du jour de leurs travaux ????
peut-être que la rédaction d'un texte unique serait nécessaire ,peut-être faut il "noyer "nos élus avec cet envoi...à une date bien déterminée ...

en téléchargement sur Pharméchange?

idée à finaliser?

je plane là, ou bien ce serait réalisable ???? :-o

La période est propice pour formuler nos demandes...!
Par la voie parlementaire, certainement ...mais avant tout,il faut fédérer autour d'un texte unique comme le dit"Chat"..
La CNAM qui, à mon avis dans un avenir proche, pourrait devenir un partenaire privilégié dans le cadre de la formation continue , apporterait peut-être son soutien dans cette démarche de qualité.
D'autre part, il me semble qu'en 2005 François Goulard, le ministre de l'enseignement supérieur de l'époque, avait parlé d'un tronc commun (1er cycle) avec 16 professions médicales et paramédicales dont le préparateur en pharmacie...
Enfin la licence professionnelle qui serait l' aboutissement de la formation initiale dans notre cursus se situe au niveau 2 de l'échelle française et ouvre des perspectives européennes ...et à l'heure actuelle pour la pharmacie,ce n'est pas une gageure...
Pour info: cet audit récent sur les pharmacies http://www.travail.gouv.fr/IMG/pdf/officine_-_Tome_1.pdf :=!

Une proposition écrite depuis Pharmechange ou plutôt à partir d'ASPHARCOM, bien sur j'y suis favorable mais il faut bien préciser les choses.

Dans ma proposition il y a deux choses à faire évoluer :

- le code de la santé publique qui dépend de l'Etat
- la profession de préparateur en pharmacie et son cursus qui dépend de la commission du préparateur et de l'Etat.

Cette commission est composée de représentants des syndicats patronaux et salariés, des représentants de l'ANPPH et deux personnalités.

La liste ==> http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=SANH0423461A

Son rôle :
Les conditions de délivrance du brevet professionnel de préparateur en pharmacie sont fixées par décret, pris après avis d'une commission comprenant des représentants de l'Etat, des pharmaciens et des préparateurs en pharmacie et dont la composition est fixée par décret.

Sont fixés pour le brevet professionnel de préparateur en pharmacie, après avis de la commission des préparateurs en pharmacie, par arrêté des ministres chargés de l'éducation et de la santé :

1° Les unités constitutives du référentiel de certification ;

2° La liste des diplômes permettant l'accès à la formation ;

3° Le règlement d'examen ;

4° La définition des épreuves ponctuelles ;

5° Les situations d'évaluation par contrôle en cours de formation.

J'aimerai que certains membres de cette commission puissent nous dire les directions envisagées, j'ai transmis un appel en ce sens.

En tout cas merci Daniel pour le lien, je ne savais pas qu'il avait été rendu public. De nombreux éléments de ce rapport font ressortir les points à faire évoluer en particulier sur l'évolution du métier d'adjoint et de préparateur.

Espérons simplement que ce document sera utilisé.

Je pense également qu'un tronc commun de 2 ans (formation générale) et une (ou 2?)année de spécialisation (officine, industrie, hôpital...) permettrait une reconnaissance de notre diplôme au niveau III, et une évolution officielle et non plus officieuse des tâches et responsabilités des préparateurs en pharmacie.

Merci Daniel pour le lien !

pas mal tout ça... :=! :=! :=!

Ce monsieur est préparateur en pharmacie et député de la Loire... si quelqu'un connaît...! http://www.assemblee-nationale.fr/12/tribun/fiches_id/866.asp :=!

Message édité par : Manager / 29-05-2007 07:26

voici de la lecture dont le contenu correspond bien à la réforme que nous souhaiterions connaître pour notre "job"
de préparateur...! d'ailleurs implicitement pour les métiers médico- techniques dont nous faisons partis, il est prévu aussi la licence Santé à Bac+3 qui collerait parfaitement à ce que nous aspirons tous...alors, wait and see.."
http://www.univmed.fr/actualites/actescolloquesante200206.pdf :=!

Désolé.. le lien..!

http://www.univmed.fr/actualites/actescolloquesante200206.pdf

Oui Daniel juste un espace avant http et le système fait le reste. ;-)

Je suis en prise de contact avec quelques membres de la commission du préparateur : je vous tiens au courant.

De votre coté, vous pouvez contacter vos responsables syndicaux ou toute personne que vous jugerez utile à notre projet.

Je poursuis dans mes réflexions :

Delphine parlait au début de ce sujet de dermo-cosmétique, merchandising et en ce sens sa position est représentative de ce qui est souvent développé par les collègues avec qui j'ai pu en discuté

Je pense effectivement que ces formations ont un intérêt dans la conduite de la carrière, mais qu'elles doivent être des compléments de formation financés, par exemple, par le Plan de Formation, le DIF, etc.

Notre diplôme et notre statut sont exclusivement attachés à notre formation paramédicale et, il me semble que c'est cette compétence qu'il faut faire évoluer dans notre formation initiale.

Je vais peut-être vous paraitre "vieux jeu", mais je crois que même si la préparation n'est pas représentative de notre travail d'aujourd'hui, elle fait partie de notre Histoire et à ce titre elle doit garder dans la formation initiale sa place.

Il reste encore des points importants à aborder en particulier la question sociale, la carrière et bien sur ouvrir le débat avec les pharmaciens pour recueillir leur point de vue.

Ce tronc commun puis spécialisation est également prisé par nos collègues hospitaliers:
voir sur le site de l' anpph le discours de la séance inaugurale des JNF DINAN 2007 , c'est très intéressant...

Hospitaliers et officinaux dépendent du même code de la santé publique, leur métier est différent, leur statut est le même. Il ont pu avancer sans nous parcequ'ils sont mieux organisés.

A nous de nous prendre en charge.

Qui en est?

Il faudrait que les préparateurs(rices) se réveillent un peu... en particulier les jeunes...!!
POUR LES JEUNES PROFESSIONNELS QUE VOUS ETES....
Il ne faut pas , que votre corporation reste, comme jadis, une profession "cul de plomb"..
Il ne faut pas, que votre profession reste inféodée...
Encore heureux aujourd'hui, mais demain..!

A VOS CLAVIERS , EXPRIMEZ-VOUS....!

Daniel a raison, pour nous les jeux sont un peu fait, c'est à vous que l'on pense!

Bp 2006 je suis bien dans mon job de préparateur mais je me rends compte tous les jours des manques de ma formation en 2ans, de l'obligation d'aller toutes les semaines aux diverses formations, de notre grille de salaire non motivante! :#

c'est pour cela que comme cité dans le forum je serai pour un BTS de technicien de pharmacie (un programme de bp renforcé avec des nouvelles matieres tels que la vente, l'informatique, l'anglais, des cours pratiques de soins...) avec possibilité d'effectuer une licence pro dans différents domaine (cosmeto, matériel medical, homeo,secrétaria, laboratoires...). Bien sur on passerait moins de temps à la pharmacie lors de la formation ,et l"'apprentissage "se ferait par des stages rémunérés , on perdrait bien sur notre salaire d'apprenti qui me parait complètement démesuré par rapport au salaire de préparateur diplomé! Au final on aurait un salaire commençant à 1200 nets pour terminer à 2000 en fin de carrière pour les préparateurs qui s'investissent! tout le monde serait gagnant ( les techniciens de pharmacie seraient mieux reconnus, les consommateurs benificeraient de meilleurs conseils et les pharmaciens gagneraient plus d'argent!)

voila il est nécessaire de se bouger pour que notre profession continue à exister et reste interessante à pratiquer! et prenons l'exemple des infirmiers qui sont en train de réaliser leurs souhaits du fait qu'ils soient regroupés! :=!

:| GLOBALEMENT, QUELLES ACTIONS PEUVENT ETRE ENVISAGEES POUR MANIFESTER NOTRE MECONTENTEMENT?
GREVES...
COURRIERS AUX DEPUTES, MINISTRES...
SYNDICALISATION...
ESSAYONS DE TROUVER DES ACTIONS QUI RASSEMBLE UN MAXIMUM DE PREPARATEUR ET AUTRE SALARIES A NOTRE CAUSE .
TIRONS TOUS DANS LE MEME SENS AU MEME MOMENT ;-)
Meessa

Bien sur tout ça en même temps. Les syndicats étant habilités à siéger dans les commissions.

Sans action concertée point de salut.

Mais je crois que les évolutions sur le diplôme suivront l'évolution du statut.

Dans l'ordre ou en même à mon sens :

Evolution du statut
Elévation des pré-requis
Evolution du diplôme

Nous avons commencé les prises de contact, nous vous tiendrons au courant.

le fameux rapport THUILLEZ de juillet 2006 (lire page 15)
http://www.sante.gouv.fr/htm/actu/thuillez/rapport.pdf :=!

"Le minimum c'est la licence professionnelle par la voie d'un BTS ou d'un DUT..."

je respecte tou poin de vu mé si notre diplome passe o ran BTS imaginé un peu le topo : de moin en moin de travail pr nou aprenti car lé 3/4 dé pers ki sorten d'un BTS st o chomage car tro d'entré libre pr peu demploi é si le BP passe en BTS ça sera la meme chose c sur !!! Car o jour dojourdhui certaine condition st rekise pr accédé à cet profession é heureusemen car lemploi aps le diplome é presen. amicalemen