Citation : Whoops
C'est vrai pour ceux qui misent sur la capitalisation, mais dans certains cas (dont je fais partie), ça serait une grosse erreur de miser dessus. Au contraire, pour ma part, je mise davantage sur les revenus que m'apporte l'officine plutôt que sur une hypothétique et à mon sens improbable plus-value à la vente, contrairement à ce qui existe justement pour l'immobilier. C'est une grosse différence.
Cette stratégie de contre pied privilégiant les revenus à la capitalisation est pertinente certes, mais elle ne saurait concerner la majorité des acquisitions que l’on rencontre actuellement.
En effet, elle repose sur un critère de capitalisation passé au second plan, ce qui nécessite une capitalisation de départ minimisée, ce qui n’est ni dans l’intérêt du vendeur ni dans l’air du temps.
Or ce même vendeur, lui à l’époque a fait pris une option différente en misant sur une réelle capitalisation de son outil de travail et aujourd’hui il compte fermement réaliser cette option,
cela d’autant plus, dans le cas de départ en retraite, qu’il s’agit de sa dernière partie à jouer.
Donc, d’une manière générale, et sans se focaliser sur les territoires sous cotés et peu prisés, ni sur les petits CA délaissés,
cette stratégie nécessite pour qu’elle puisse être mise en place un vendeur aux abois qui face un trait sur la part capitalistique de son investissement officinal.
Cela n’est pas, vous en conviendrez, monnaie courante jusqu’à présent.
El Gringo