Exercice illégal de la pharmacie : il faut au minimum se fendre d'un courier informant l'Ordre de cette anomalie. Surtout par les temps qui courrent ...

L'Ordre...l'Ordre...ah oui....le courrier que je reçois tous les ans me réclamant quelques euros !!!

si, nous, les acteurs officinaux nous nous "fendions" un peu plus sur les anomalies qui nous attendent on ne craindrait pas que ces rares exceptions se légalisent...maintenant, il est vrai qu'il ne faut pas laisser faire n'importe quoi à n'importe qui et donc qu'un petit coup de tel à ce gentil monsieur peut lui passer l'envie de continuer...

Comme quoi l'information grâce aux nouveaux moyens de communication submerge aussi les stations de ski reculées ...

Un précurseur en somme ... dans l'air du temps ...

Le directeur du Credoc, Robert Rochefort, y est lui aussi allé de son rapport. Il a remis, le 20 février, au ministre du Logement et de la Ville une série de propositions pour redynamiser le centre-ville. Son rapport préconise de confier la vente de certains « médicaments courants » aux petits commerces de proximité disposant de comptoirs hors libre-service. L’auteur suggère que des pharmaciens référents dispensent une courte formation aux commerçants (bureaux de tabac, supérettes…). La Lettre d'info de l'officine n° 253

Ce doit être une blague!
Un indice "pertinent": d'après M. Bonnefond, aucun français ne se trouve à plus de 15 minutes d'une officine...

Moins de 15 minutes oui !
en hélico privé de mon ami B. .... ?

Effectivement, je n'avais pas pensé à l'hélico... Bien vu!