Citation : mariep
Je suis d'accord avec Kenshoo, en campagne les gens sont beaucoup moins agressifs (idem au volant d'ailleurs ;-) ). En revanche je suis stupéfaite et très énervée de voir que mes collègues (elles-mêmes "campagnardes") ne sont pas du tout gênées de faire attendre les clients et de finir ce qu'elles sont en train de faire. Pour moi, la règle c'est "priorité au client" et on laisse tomber toute autre occupation. Serais-je trop parisienne ?
Lavrille : comment expliques-tu à ton client que "toi aussi les génériques ça te gonfle" ? Comment tu formules ton empathie ? (sincère ou non, peu importe).
Et pour répondre (quand même, c'est pas trop tôt) à Apothéka : je pense aussi qu'il faut rester souriant et aimable, baisser la voix (ça oblige le client à faire de même), lui dire qu'on le comprend, bref être bien "faux-cul" pour faire tomber la pression et se moquer (intérieurement) de lui pour relâcher sa propre tension.
Bon courage !
Je ne rentre pas dans les détails avec ces gens hargneux ça ne sert à rien.
Je reste très terre à terre, je dis que ça prend trop de place dans mes tiroirs, qu'on n'à qu'à imposer un prix plus bas directement au princeps et en général du coup on se retrouve sur la même longueur d'onde et ça les calme.
Ceux qui insistent en disant "je sais très bien que vous avec un gros pactole par la sécu quand vous substituez" j'explique que ce que reverse la sécu ne comble pas le manque à gagner par rapport à la vente du princeps, sinon pourquoi le ferait-elle?
Voilà mais je ne cherche surtout pas à imposer mon point de vue, je ne rentre pas dans les détails.
Les gens bornés resteront bornés, moi je fais mon boulot de mon mieux sans écraser mon voisin, le reste je ne pourrai pas y faire grand chose