website logo
Auteur
avatar
SANDYone

Forum » » Droit du travail » » déduction de salaire


Posté : 10-03-2009 22:40 icone du post

Hi hi!

moi j'ai connu un titulaire qui restais aux toilettes pour lire tranquille .

Morte de rire quand un client voulais lui parler ...
Oh ! Non ! Ce n'est pas possible :monsieur est sortit ou il est trop occupé !
L'Autojournal , le Progrès ,Le Monde (long à lire ça !),Auto+ ....
M'enfin quoi ! On peut plus lire tranquille ! Je l'aimais bien , il était trés sympa ! Alors les clients attendais un peu !

Sinon, bien sur qu'il est interdit de ponctionner un timbre sur un buletin de salaire !

Le pire , c'est qu'à ce point ils ne se rendent même plus compte de ce qu'ils font ! Heureusement que le ridicule ne tue plus !

Le mieux :Molière , Whoops ; je remonte le temps au 17°siècle !

Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, justeciel ! Je suis perdu, je suis assassiné ! On m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon argent ! Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? où est-il ?où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? où ne pas courir ? N'est-il point là ? n'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête !(il se prend lui-même le bras.) Rends-moi mon argent, coquin !... Ah ! c'est moi. Mon esprit est troublé, et j'ignore oh je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m'a privé de toi ! Et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi, il m'est impossible de vivre.C'en est fait, je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré ! N'y a-t-il personne qui veuille me ressusciter me rendant mon cher argent, ou en m'apprenant qui l'a pris ? Euh ! que dites-vous ? Ce n'est personne. Il faut, qui que ce soit qui ait fait le coup, qu'avec beaucoup de soin on ait épié l'heure ; et l'on a choisi justement le temps que je parlais à mon traître de fils. Sortons. Je veux aller quérir la justice et faire donner la question à toute ma maison : à servantes, à valets, à fils, à fille, et à moi aussi. Que de gens assemblés ! Je ne jette mes regards sur personne qui ne me donne des soupçons, et tout me semble mon voleur. Eh ! de quoi est-ce qu'on parlelà ? de celui qui m'a dérobé ? Quel bruit fait-on là-haut ? Est-ce mon voleur qui y est ? De grâce, si l'on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on m'en dise. N'est-il point caché là parmi vous ? Ils me regardent tous et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part, sans doute, au vol que l'on m'a fait. Allons, vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences et des bourreaux ! Je veux faire pendre tout le monde ; et, si je ne retrouve mon argent, je me pendrai moi-même après
Sandy one !

Cet article provient de Pharmechange
https://www.pharmechange.com/viewtopic.php?topic=7547&forum=3