Citation : Guillaume86 

Et pourquoi ne pas continuer sans groupement.
Il faudrait mettre le coût annuel de la cotisation dans des baisses de prix significatives pour voir si l’otc revient en volume.
Au pire il sera toujours tant de remonter les prix et ce serait plus facile que de quitter un groupement.
Moi je continuerai comme ça, en essayant de jouer sur de la comm et des prix ciblés pour faire revenir la patientèle locale.
Faut voir ça comme un challenge à long terme qui sauvera peut être l’officine une fois le CA bien remonté.
Quand on a plus d’endettement et que des logements se font en face, il reste encore des choses à faire.

C'est aussi mon avis, prendre une décision tout de suite m'amène à toutes ces interrogations, sachant que ces logements apporteront un peu d'oxygène (mars 2019!) ainsi que ce nouveau commerce, et le quartier sera plus attrayant.
J'ai bien envie de croire en l'avenir. Je connais notre travail et comme a dit l'un d'entre vous, en 5 ans, je 'gagne' ce qui m'est proposé en terme de prix de rachat. En revanche, je ne vois pas ma pharma vendue par la suite, cela ne me pose pas de souci. mais vous avez tous raison, pas à 50% si je dis oui. A bientôt 50 ans, je me vois travailler pour d'autres et faire de nouvelles formations, cela un temps, mais pas galérer comme je l'ai fait (comme tous) lors du premier achat, c'est cela qui bloque ma décision, pas les heures de travail, mais ce que je vais retrouver par la suite au niveau finance, avec mes charges familiales.
Qu'entends-tu par comm? Je ne me vois pas faire comme mon voisin, chaque hiver " un Fervex acheté, le 2ème à 50% ", c'est interdit...
Avez-vous, vous tous, des exemples justement de comm que je n'utiliserais pas?
comme dit, pharmacie enclavée, pas facile de communiquer, même si on assure sur certains prix, cela étonne nos patients (laits, aroma...), moins cher que la pharmacie mutualiste de notre ville, comme quoi.
Merci à tous pour vos conseils