Le salaire d'un préparateur (qui certes ne brille ni par son indépendance ni par son investissement) est donc inférieur au salaire median (et nous parlons de chiffre de 2011).
La vendeuse de chiffon, elle, gagne donc, au final, rien de plus que ce salaire là.
Là où commence le découragement, se lève la victoire des persévérants.