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pharma-espoir
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Forum » » La taverne » » Prescriptions NS : les médecins forcés de se justifier...
Posté : 04-11-2014 17:02 
Citation : syncmaster
Faut pas rêver, les demandes de justification ne concernent que les plus gros prescripteurs de NS, ceux qui abusent clairement en mettant du NS systématique. Je sais de source CPAM qu'il y en a une dizaine dans mon département.
Les autres médecins, ceux qui sont dans la moyenne, ne seront pas contrôlés et pourront donc continuer les NS de complaisance pour 15 à 20% de leurs prescriptions.
Après, si ils arrêtent d'eux-mêmes c'est tant mieux, mais je ne l'ai pas constaté chez moi.
Faut pas rêver, les demandes de justification ne concernent que les plus gros prescripteurs de NS, ceux qui abusent clairement en mettant du NS systématique. Je sais de source CPAM qu'il y en a une dizaine dans mon département.
Les autres médecins, ceux qui sont dans la moyenne, ne seront pas contrôlés et pourront donc continuer les NS de complaisance pour 15 à 20% de leurs prescriptions.
Après, si ils arrêtent d'eux-mêmes c'est tant mieux, mais je ne l'ai pas constaté chez moi.
Pas de pharmacies qui délivrent les NS de complaisance = les médecins arrêtent d'en prescrire. Comme je l'avais déjà dit, je trouve normal que les NS ne soient pas pris en compte dans le calcul de la prime génériques : les pharmaciens qui font l'effort de les combattre (et c'est du boulot !) méritent une meilleure prime que ceux qui restent passifs.
Citation : pharmecoul
Bonjour,
Sincèrement, j'aimerai qu'un médecin m'explique le "risque" qu'il encourt à tenir tête à un patient voulant absolument des princeps. Il perd le patient ? et alors, on manque de MG, pour un patient de perdu, dix de retrouvés ...
Manu
Bonjour,
Sincèrement, j'aimerai qu'un médecin m'explique le "risque" qu'il encourt à tenir tête à un patient voulant absolument des princeps. Il perd le patient ? et alors, on manque de MG, pour un patient de perdu, dix de retrouvés ...
Manu
Ca dépend : en plein désert médical oui, le médecin ne risque rien à tenir tête aux patients. Par contre en ville universitaire par exemple, un patient ça vaut cher, comme pour une pharmacie.
Cet article provient de Pharmechange
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