Selon lui, on serait aujourd'hui amené à choisir entre deux solutions : soit appliquer un système franco-français en favorisant le développement des centrales d'achats pour diminuer les coûts, soit se lancer dans le « direct pharmacy » où les laboratoires choisissent eux-mêmes leur distributeur, à l'image de ce qui existe en Angleterre. «Le “direct pharmacy” paraît être une évolution inéluctable à l'heure où les grossistes-répartiteurs baissent leurs remises aux pharmaciens», estime Patrice Devillers. L'autorisation récemment accordée aux officinaux d'acheter au niveau du prix fabricant hors taxe (PFHT) change également la donne.
Quand le laboratoire choisit son "point de vente" ...
En exclusivité à la Grande Pharmacie Conseil de la Plage ...

Le fait que demain, les labos choisissent leur "point de vente" et ne permettent pas à certaines catégories d'officinaux de se procurer leurs médicaments à des tarifs compétitifs ne semble pas succiter de réaction ?

ça l est déjà el gringo, si mes souvenirs sont bons, en 2004, upsa à l'époque ( avant bristol) était venu me signifier qu'il passerai voir les pharmacies avec ca sup à 2 millions d euros, pour les autres, par telephone only.

C'est presque déja le cas pour reckitt...un groupe plus que louche. Comme la plupart de mes amis nous avont retiré le strepsil (remises en forte baisse, et commandes par téléphone uniquement) des étagères dans la pharmacie ou je travaille.

Oui je sais, la Roche Posay n'ouvre un "point de vente" favorable que s'il en ferme un minable sur le secteur ... etc ...
Mais là il s'agit tout simplement de pouvoir référencer le produit, l'acheter.
Sinon Grossiste et prix catalogue et client qui ne comprend pas pourquoi t'es 30ù plus cher que ton voisin, va lui expliquer que t'as pas tiré le bon numéro, trop petit, pas assez de clampins comme lui pour faire des rotations honorables ...
Cela sera la loi du tout ou rien, distribution "sélective" sur l'OTC et sur d'autres médicaments par la suite ...