Je souris pour l'intervention d'Olivier :-D :-D :-D
- Je suis génée par l'inactivisme dans la formation des prépas. Pourquoi changer quoi que ce soit, puisque ça marche malgré tout ? :b
Eh bien cela va marcher de moins en moins, ne serait-ce que parce que le public concerné n'est plus du tout le même : souvent des jeunes adultes sortant du bac (youpii...), entre former des jeunes de 16 ans et ensuite de 20 ans : eh bien, l'approche diffère quelque peu et les attentes ne sont plus les mêmes ce qui est aussi différent de la motivation, etc... Puisque le salaire, les conditions de travail, de reconnaissance comptent...eh bien, prenons les en charge...
- Je suis génée par l'absence de pertinence entre les tâches professionnelles et l'enseignement reçu...
- Je suis génée par les méthodes d'enseignement quasi dominantes qui sont les cours magistraux sous forme de dictée qui engendrent passivité et obligation de mémorisation importante. Ou est l'autonomisation des apprentis ?
- Je suis génée que les mutations sociales, la dimension communautaire et les nouvelles exigences de prise en charge qualitative ne soient pas prises en compte...
- Je suis également génée d'être obligée de recourir à la formation continue pour la proféssionalisation du prépa quand la formation initiale est déjà une formation "professionnelle". Cela n'enlève rien à la nécessité de la formation continue, ne serait-ce que pour ne pas être réduit a utiliser toujours les mêmes savoirs... :b
:-D Je finirais par citer (je ne sais plus qui ?) "Il vaut mieux apprendre que savoir" :-D :-D :D Navrée pour toi, Olivier, mais je souhaite rester dans le ludique, cela convient mieux à ma représentation de la pédagogie :b :b

Je suis d'acord avec toi pour ce qui est de l'appretissage ludique. Je pense que tout passe mieux quand il y a un échange réel entre le prof et l'"élève". L'apprentissage frontal est dépassé et inintéressant. Même en faculté de pharmacie tout devrait être réorganisé. les prof de facs devraient être de vrais professeurs avec de vrais notions de pédagogie et tout et tout qui entreraient eux en relation avec les chercheurs et les professionels pour relater des expériences professionneles et enrichir leurs exposés. Et si le théorique est important, alors à nous étudiants de prendre nos bouquins et d'arriver en cours en ayant lu un chapitre précis pour pouvoir confronter ce que nous avons retenu avec un professeur qui comblera les brêches. Mais tout ceci n'est possible qu'avec un ensemble d'étudiants attenifs et désireux de bien apprendre?. hors à la fac comme dans les CFA à mon avis il doit y avoir des énergumènes qui feraient mieux de faire autre chose que ce métier ! Me trompé-je ! (c'est moche mais c'est français). :#

Bonjour!

.....continuons dans le "ludique"...... on s'aperçoit de ce que cela a donné dans les formations initiales de l'éducation nationale depuis une dizaine d'année:.....plutôt moyen!

nota: certains "experts" pédagogues commencent à revenir en arrière sur ce sujet (y compris nos derniers ministres ou secrétaires d'Etat...)

à +

Oui, je voulais revenir à ce sujet qui est passionnant. Voilà, en apprenant le changement de statut du BP (en 2ème année de BP, je voulais poursuivre mes études une fois mon diplome en poche), j'ai interrogé mes professeurs au CFA qui m'ont répondu, que le niveau du diplome serait réhaussé dès que tous les élèves qui ont fait le parcours long (CAP, MC et BP) auront eu leur diplome.
Du coup je me suis dit à quoi bon chercher par tous les moyens une formation qui me permettrait d'obtenir un niveau supérieur vu que dans deux ans, le niveau de mon diplome augmenterait sans que je ne fasse rien.
Le fait que je ne vous voit pas en parler impliquerait-il que j'ai eu de mauvaises informations? :-?

Hello !
J'ai relu un peu les posts et j'en revient à la question du ludique ! (Excuse moi twinaude, je te court-circuite ! ;-) ).
Je crois que c'est le terme qui ne convient pas. On n'a pas dit qu'il fallait faire des blagues qvec les étudiants et oublier le côté apprentissage qui est bien sûr indispensable pour se perfectionner dans un sujet, mais simplement de peut-être plus entrer en relation avec l'étudiant ou l'apprenti. Effectivement, le problème va en fait résider dans la motivation des jeunes qui apparamment n'est pas toujours celle attendue par les formateurs. C'est compliqué, et je pense que quand on n'est pas dans ce circuit (professoral), on ne peut pas réellement prendre de position. Le temps doit manquer pour pouvoir se pencher sur les besoins de chacun, et les cours sont organisés selon un plan de bataille bien établi pour boucler l'année !
Compliquée l'histoire ... :# :-D

Je n'ai rien compris à ce que tu disais.
Pour le court-circuitage c'est pas grave, personne n'était très motivé pour me répondre.
Une new preparatrice (hihihihihihihi) :=!

Ca sent un peu le relachement nerveux... ;-)


Bixente

Ah ça c'est sur, je peux avouer que là, je commence à me détendre seulement, mais c'est vrai aussi que j'ai pas tout compris et c'est pas faute d'avoir essayé, j'ai relu plusieurs fois et tout mais non rien...tant pis je suis peut être un peu à la ramasse mais j'ai mon diplomeeeeeeeeeeeeeee :=!