Génial ! Conserver un des nombreux ARA-II dont la balance bénéfice risque est inférieur aux autres, tout en oubliant que la réduction tensionnelle des ARA-II est sans effets démontrés sur la morbi mortalité cardiovasculaire, ce qui n'est pas le cas des IEC. D'ou les recommandation "de prescrire un IEC en première intention et de réserver les sartans aux patients ayant une toux sous IEC" (HAS - 2010). Non vraiment on aurait galéré pour trouver une alternative ; les médecins auraient été perdu, les patient perdu dans un désert thérapeutique. Ouf. Sauvé. MERCI LES GARS !