Pour information, avoir travaillé une certaine durée ne suffit certainement pas à prétendre au chômage ! En théorie (malheureusement ça n'est que théorique) on est censé CHERCHER un nouveau travail, ce que 50% des chômeurs ne font pas.

De plus je te retourne le compliment : si seulement tous les salariés étaient honnêtes et censés....

Merci pour vos différents points de vue, ça me permet d'anticiper la réaction du titulaire que je vais aborder cette après-midi.

Mon état d'esprit vise à faciliter le processus de départ mais je me prépare au cas où la discussion n'est pas possible (je n'ai aucunement l'intention de réclamer le paiement des 2h de recherche d'emploi fictif par jour).

Pour mémoire, tout cela pour être libéré le 9 mars ayant annoncer ma démission le 10 décembre (certes oralement).

Eh bien félicitations, tu sais que tu y as techniquement droit mais tu ne comptes pas les prendre parce que tu as déjà autre chose :=!

Je serais toi, s'il fait aussi un geste en te lâchant le 9 mars c'est ok, et s'il fait le con*** je prendrais mes 2h/jour ;-)

1. "objectif de réussite" : --> hors sujet : notre interlocuteur a déjà trouvé un emploi (

Ce n'est donc pas l'objectif qui est en question, mais le motif.

2. "ni de motif de suspension" : c'est faux, comme je te l'ai déjà prouvé (mais quand tu ne veux pas entendre ....)
Rappel d'un précédent post :

3. le plus grave dans ce sujet récurrent, c'est que tu fais abstraction totale de la conscience humaine et professionnelle des lecteurs. C'est très grave parce que cela donne une très mauvaise image de tes conseils. Genre "tire-au-flans au maximum". C'est déplorable et cela ne correspond pas du tout à la réalité : nombre de salariés, à mon image quand j'en étais, pourraient culpabiliser très fortement de "profiter" de ces 2 heures de recherche d'emploi alors qu'ils en ont déjà un ! J'ai bien compris que ce sentiment t'était totalement étranger (j'en suis d'ailleurs très étonné, franchement, j'ai même l'impression que tu te croies intéressant par certains conseils que tu ne t'appliquerais jamais à toi-même).

Tu as tort Pada : la durée du préavis commence le jour où il a reçu la lettre de démission (en mains propres ou en recommandé). Une annonce orale n'a aucune valeur. D'ailleurs qui te dit que le titulaire a bien compris qu’il s’agissait de l'annonce de la démission ou de l'annonce d'envoi du courrier de démission.

Dans la pratique usuelle : l'employé averti son responsable à l'oral, puis il envoie un courrier officiel de démission ou le remet en mains propres contre signature. Le début du préavis de JulienG commence bien le 21 décembre.

Par ailleurs, ayant trouvé un emploi, (et ce serait facile à prouver par le titulaire), il n'a pas le droit non plus aux 2h de recherche d'emploi.

Les congés pris décalent d'autant le préavis.

Que ce titulaire ne soit pas apprécié n'y change rien : le droit s'applique à tous. Le départ de JulienG de cette pharmacie ne peut légalement pas précéder le 21 mars, + vacances prises entre temps.

Sauf accord entre les deux parties (un accord écrit serait d'ailleurs préférable dans ce cas)

Bon...

Après avoir un peu creusé le sujet, bataillé à lire des jugements et fureté sur les sites, il semblerait que Piou Piou ait raison.

En effet, ces fameuses heures de recherche d'emploi ne sont dues que si le salarié n'a pas trouvé un nouvel emploi (et que son employeur en soit informé). Il ne suffit pas d'une promesse orale, mais il faut que soit signée une promesse d'embauche. Ca fonctionne aussi si le salarié créé sa boite (ou en reprend une) ; il est considéré que ces heures servent alors à border le projet.

Dans le cas où l'employeur serait informé que ces heures ont été prises hors cadre légal, il peut assigner son employé (ou ex-employé) aux Prud'Hommes pour demander à obtenir un dédommagement.

Maintenant, si l'employeur n'est pas au courant ;-)

Je sais bien : je dis que si l'employeur fait un effort pour arranger le démissionnaire (en l'occurrence lui accorder un départ le 9 mars au lieu du 21) moi perso je ne l'embêterais pas avec mes 2h/jour. Maintenant si l'employeur me faisait ch*** jusqu'au 21 mars (sachant par exemple qu'il n'a que l'embarras du choix pour retrouver un assistant) je lui balancerais ses 2h/jour sans hésiter même si j'ai déjà trouvé ailleurs.

En bref : je ne suis pas du genre à être parfaitement réglo avec quelqu'un qui met toute sa mauvaise volonté contre moi.

Bravo Poussinet !
:=!

Et vous en avez eu souvent des lettres d'embauche reçues en recommandé?

On parle de lettres de démissions ... (surmené en ce moment Manager :-?)

1 fantasme de Pharmechange qui tombe enfin !

Je te remercie d'avoir fait cet effort de recherche. Si tu pouvais en profiter pour comprendre que je ne cherche pas à raconter n'importe quoi ici ... ;-)

Ne fais pas trop le mariole quand même... ;-)

1969 ( année érotique ) et 1986 comme exemple c'est quand même un peu vieux comme référence de l'eau a coulé sous les ponts de nouveaux accords de conventions collectives ont été signé et divers points du code du travail ont été modifié depuis .

Merci de me citer tes sources en MP Bixente.

Je pense que c'est toi qui est fatigué.

Je pose la question au salariés car il est bien rare qu'il y ait une lettre de promesse d'embauche en officine.

Pour le reste, c'est à l'employeur d'apporter la preuve de la fin de l'objet... pas facile si le salarié ne lui dit rien.

En général il y a deux cas de figures, soit le salarié quitte son emploi pour raisons personnelles et il ne pense même pas à demander les jours, soit il quitte l'emploi sur désaccord avec son employeur et bien évidemment il va chercher tout ce qui peut faire ch... son employeur et il ne dira rien. Ce n'est pas du droit c'est de l'humain.

On n'a pas de promesse d'embauche si on ne la demande pas, mais ça peut s'avoir sur demande ! Je l'avais faite à mon assistante, elle en avait besoin pour décrocher son appart.
Pour le reste tu as très bien résumé !