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SB69
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Forum » » Cas de comptoirs » » Débuts et réalités avec le métier
Posté : 08-03-2011 14:16 
Citation : dakaru
Bienvenue chez les "généralisateurs"
LE cas particulier lamentable n' est pas le reflet de la très grande majorité des officines qui font leur boulot correctement
Citation : SB69
Bienvenue chez les épiciers... euh les pharmaciens...
Bienvenue chez les épiciers... euh les pharmaciens...
Bienvenue chez les "généralisateurs"
LE cas particulier lamentable n' est pas le reflet de la très grande majorité des officines qui font leur boulot correctement
www.pharmaticien.com
Et sur Twitter : @Pharmaticien
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petite tranche de vie pharmaceutique :
stage de 6ème année : je vois la titulaire recycler du cyclamed, et faire de la sur-facturation, dépanner sur du lister sans broncher... bonne première image du métier.
direction l'armée, puis un premier remplacement qui se passe très bien.
vient ensuite un premier CDI où je ne reste que 2 mois. les pharmaciens suivants ont fait comme moi, le titulaire défendait sa préparatrice qui faisait n'importe quoi au lieu de ses assistants.
nouveau poste avec une titulaire à nouveau que j'ai vu vider le carton de cyclamed dans sa pharmacie en fin de journée sous mes yeux et et trier les boites pour les remettre en stock. elle donnait du listé elle aussi sans difficultés. je ne me suis même pas amusé à chercher quelles autres magouilles elle a bien pu faire. sa dernière vendre sa boite 100 k€ plus cher qu'elle ne le valait. le nouveau titulaire a adoré.
ce dernier par mesure d'économie préférait fonctionner en sous effectif, mais il n'oubliait de prendre ses vacances et d'aller se promener plusieurs fois par semaine même quand la pharmacie était bondée et que nous étions que 2 à servir.
j'ai donc fini par m'installer, en me disant que je serai enfin chez moi libre de faire comme je l'entends dans le respect de la déontologie qui est mienne.
et là mes 2 plus proches concurrents (et non confrères) ont fait tout ce qu'il fallait pour me casser : on fait pas de génériques venez chez nous", sur-facturation, dépannage pour le bled au frais de la sécu (dénoncé mais rien retour), et j'en passe... la dernière en date depuis que j'ai vendu : "je mets la clé sous la porte, mes clients doivent trouver une autre pharmacie (la leur en l'occurrence) car la mienne ferme."
alors je veux bien ne pas généraliser, mais cette profession récolte ce qu'elle a semé.
j'en sors pour partir faire autre chose, et grand bien m'en fera.
je ne peux imaginer une seconde que je les accumule tous depuis plus de 10 ans maintenant, sur une zone géographique aussi importante...
j'en suis même a me demander si je ne vais pas écrire un bouquin pour expliquer ces pratiques...
alors avant de juger, on essaye de comprendre...
quant au cas d'Izarb, si tu ne te sens pas dans cette pharma, change de crémerie, en espérant que tu trouves la perle rare...
Cet article provient de Pharmechange
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